Nerdwax a refusé 2 offres de réservoirs de requins et a quand même construit une entreprise d'un million de dollars

Felix : Aujourd'hui, je suis rejoint par Don Hejny de Nerdwax.com, c'est NERDWAX dot com. Nerdwax est un mélange à base de cire d'abeille de tous les ingrédients naturels et certifiés biologiques spécialement formulé pour maintenir vos verres en place. Il a été lancé en 2014 et basé à Nashville, Tennessee. Bienvenue Don.

Don : Merci beaucoup. Mec, tu as notre slogan. Je n'ai même pas eu à le faire. C'était génial.

Félix : Nous faisons des recherches sur l'entreprise, heureusement. Tellement excité de vous avoir. Je pense qu'il y a beaucoup de choses dans lesquelles nous entrons, alors plongeons-y directement. Parlez-nous un peu plus de votre magasin et quel est le produit que vous vendez.

Don : Super. Nerdwax est essentiellement une cire entièrement naturelle, comme vous l'avez dit, qui maintient vos lunettes en place. Il y a environ cinq ans, j'étais ingénieur du son en tournée et je faisais tous ces concerts en plein air en travaillant principalement avec des artistes country parce que nous sommes basés à Nashville. Il y avait des moments où j'étais dehors à un festival d'été ou quelque chose comme ça. Je baissais les yeux et mes lunettes tombaient littéralement de mon visage parce que j'étais tellement en sueur. C'était super dégoûtant. J'ai essayé différents produits sur le marché comme des sangles, des bandes et des crochets et rien n'a vraiment fonctionné pour moi.

J'étais dans une émission au Texas dont je me souviens exactement le jour où j'ai eu l'idée. Nous étions assis là et l'artiste pour qui je travaillais était sur scène. Elle portait sur ces énormes lunettes de soleil aviateur. Il n'arrêtait pas de glisser son nez et elle devrait arrêter de jouer de la guitare acoustique pour les repousser sur son visage. J'étais tellement distrait et j'ai juste pensé : « Il doit y avoir une solution pour ça que quelqu'un qui est sur scène pourrait porter et ils n'auraient pas honte de le porter comme un groupe ou un crochet. Il est évident que vous avez quelque chose sur vos lunettes.

J'ai grandi autour des sports de glisse. Les surfeurs utilisent de la cire dans l'eau pour maintenir la friction sur leurs planches de surf. Je me suis dit : "Mec, si je pouvais fabriquer une cire de surf pour tes lunettes, ce serait vraiment cool." Ce serait invisible. Vous ne le verriez pas. Ce n'est pas comme des tampons où vous auriez à les couper pour les mettre en forme. Cela fonctionnerait avec n'importe quel type de lunettes et pensait: "Je parie que je pourrais faire quelque chose comme ça." Cela a lancé le processus. Je suis rentré. J'ai dit à ma femme. J'étais comme, "Bébé, tu ne vas pas croire l'idée que j'ai." Elle était comme: "Ouais, je le croirai quand je le verrai." J'ai des idées tout le temps. Je ne pense pas qu'elle m'ait pris au sérieux jusqu'à ce que des boîtes de cire et des tubes se présentent devant notre porte.

J'ai juste commencé à jouer avec. J'étais sur la route. Je le retirerais. Je l'essayerais moi-même. Donnez-le à vos amis et à votre famille. Les gens ont commencé à me demander où ils pouvaient l'acheter. Je me disais: "Mec, je pense que nous avons une entreprise ici." Cela a lancé tout le processus.

Nous avons traversé un énorme changement de vie pendant que j'étais sur la route. Je passais environ 250 jours par an sur la route et je pensais : « Je suis tellement misérable. J'ai une femme et trois enfants. Je veux être plus à la maison. Comment puis-je faire un changement et quitter la route ? » Pendant que je réfléchissais à tout cela, j'ai en fait perdu mon travail. Le tout en deux semaines, j'ai perdu mon emploi. Ma femme s'est cassé la cheville, nos deux voitures sont tombées en panne, et notre propriétaire a appelé et a dit qu'il n'allait pas renouveler notre bail, et donc nous devions déménager. La vie m'a juste poussé dans un coin. J'ai dit: "Je pourrais reprendre un autre travail sur la route, mais je vais profiter de cette opportunité et de ce point crucial pour le changer et faire quelque chose de différent."

J'ai fini par prendre deux boulots en ville à Nashville. Je travaillais 80 heures par semaine. J'ai mis Nerdwax en attente parce que j'étais complètement submergé par la vie. Il m'a fallu deux ans pour revenir à un endroit où je pensais : « Je suis de retour à un endroit de la vie où j'ai de la bande passante. J'ai regardé autour de moi et je suis un grand fan de l'utilisation de ce que vous avez. Nous n'avions pas beaucoup d'argent. Nous ne connaissions personne qui pouvait investir dans l'entreprise. J'ai pensé : « Allons sur Kickstarter. Voyez ce que la communauté Kickstarter a à dire à ce sujet et voyez si nous pouvons obtenir un soutien. C'était la poussée initiale vers Kickstarter.

Nous avons lancé notre Kickstarter en avril 2014, et nous l'avons lancé à minuit. Quelques secondes après notre lancement, nous avons obtenu notre premier soutien. J'étais comme, "C'est fou." J'avais prévu de lancer tous nos médias sociaux le lendemain matin à 8 heures du matin et un gars à Singapour, ou à Taïwan, ou quelque chose est assis devant son ordinateur et voit mon projet. Il est juste comme, "Hey, je soutiens ça pour 10 dollars." C'était cette chose d'ouverture d'esprit. J'étais comme, "Wow, il y a tout un tas de gens à l'autre bout du monde qui sont comme, 'Ouais, j'adore ton idée. Allez-y. » Lorsque nous nous sommes réveillés le matin, nous avions déjà amassé 1 700 $ sur notre objectif de 5 000 $. Nous avons été financés à peu près à l'heure du déjeuner le premier jour de la campagne. À la fin de la campagne, nous avions amassé 60 000 $. Cela nous a vraiment poussés dans les affaires.

Avant ça, je ne pensais même pas que ça décollerait comme ça. Je pensais que nous ferions un Kickstarter. Nous ferions notre première course et nous devions nous déployer dans les petits magasins d'optique autour de notre région et nous développer au niveau régional. C'est ce à quoi j'étais préparé. Lorsque nous avons eu cet énorme succès international avec Nerdwax, et je sais que 60 000 ventes, ce n'est pas si gros, mais nous expédions des tubes à Taïwan, en Malaisie, à Singapour et en Australie. J'ai juste pensé : "Tu sais quoi ? Il y a une demande pour cela. Je dois courir fort. J'ai quitté mon emploi à temps plein que je viens d'obtenir un emploi de neuf à cinq. J'ai quitté ce travail et j'ai pris un travail à temps partiel et je me suis lancé dans Nerdwax. Je sais que c'était un long monologue. Désolé. C'est l'histoire de Nerdwax.

Félix : Je pense que c'est un excellent aperçu. Nous allons plonger dans les différentes parties de votre histoire. A commencer par l'idée. Vous avez mentionné que vous avez toujours des idées et je pense que vous êtes comme tous les autres auditeurs là-bas où vous avez une idée et vous avez hâte de partager avec votre meilleur ami ou de partager avec votre ma moitié. Aviez-vous de l'expérience dans la poursuite d'autres activités, ou dans le lancement d'autres produits, ou étiez-vous simplement en train de penser à des idées sans arrêt ?

Don : Ouais, absolument. Je n'avais rien fait d'officiel. J'étais le roi des idées de départ et de ne pas les terminer. C'est comme le gars qui a un garage plein de cartes de visite. C'était moi. Vous vous êtes lancé dans l'idée, puis vous avez réalisé que l'exécution allait être tellement plus difficile que l'idée et vous l'avez simplement abandonnée.

Il y a en fait une scène dans notre vidéo Kickstarter où ma boîte Nerdwax dans laquelle j'avais tout emballé, c'est dans notre sous-sol. Je l'avais placé au-dessus de toutes les autres idées ratées que j'avais. Je suis vraiment entré dans ce plan avec beaucoup d'importance pour moi-même en disant: «Hé, c'est l'idée que je vais terminer. Je vais le prendre et je vais bien le finir. Quoi que cela signifie. Je ne sais toujours pas ce que cela signifie. Je vais continuer jusqu'à ce qu'il suive son cours, et je sais que j'y ai mis tout ce que je pouvais.

En ce qui concerne le milieu des affaires, j'étais un ingénieur du son en tournée, ce qui n'a rien à voir avec le démarrage de votre propre entreprise, mais cela a beaucoup à voir avec le dépannage. Ce que j'ai appris en tant qu'ingénieur du son et en dépannant le flux de signal, c'est que vous pouvez résoudre n'importe quel problème complexe. Vous pouvez prendre tout ce que vous voulez apprendre et vous pouvez le dépanner. Vous pouvez tout décomposer en ses composants individuels, et vous pouvez le regarder au niveau granulaire et dire : « Voici où est le problème. Voici le défi. Voici la solution à cela. Cette compétence, je pense, a joué un rôle très important dans ma capacité à avoir le succès que nous avons eu jusqu'à présent avec Nerdwax.

Felix : La partie où vous parlez de la façon dont vous avez décidé que c'était le projet, c'était le produit, c'était l'idée que vous feriez une réalité, c'est un thème commun que j'entends d'autres entrepreneurs prospères qui diront que le La seule fois où ils ont commencé à avoir du succès, c'est lorsqu'ils se sont engagés et ont dit : « Je vais accepter cette idée même si elle n'est pas parfaite, même si je ne sais pas comment le faire. Je vais juste m'engager à le faire fonctionner, ou jusqu'à ce que je fasse faillite, ou jusqu'à ce que je devienne sans abri. En gros, dire que vous allez pousser cette idée jusqu'au bout et savoir avec certitude si cela fonctionnera ou non. Parce que vous aviez cette histoire de venir avec des idées, comme vous le disiez, vous étiez la personne à idées, vous avez un garage plein d'idées mais vous n'en poursuivez aucune, ce qui a fait la différence cette fois, ou comment vous en êtes-vous sorti cycle de juste venir avec l'idée mais pas vraiment la pousser jusqu'au bout ?

Don : C'est en fait vraiment drôle que nous en parlions sur un podcast parce que c'est une sorte de méta. Après ma deuxième année après avoir quitté la route, je travaillais pour Dave Ramsey en tant que producteur du podcast EntreLeadership. Je produisais le podcast pour Dave Ramsey et nous étions quatre propriétaires de petites entreprises disséquant des leaders de classe mondiale. Nous avions eu Seth Godin et Mark Cuban. Nous avions eu Pat Lencioni et tous ces gens et entrepreneurs vraiment formidables.

Ensuite, je regardais ces propriétaires de petites entreprises qui faisaient partie de la communauté EntreLeadership. J'ai remarqué que le fil conducteur avec tous n'était pas qu'ils étaient tous extrêmement intelligents, ce que certains d'entre eux étaient. Ce n'était pas qu'ils étaient tous super talentueux, ce que certains d'entre eux étaient. Tous avaient la même chose en commun, à savoir qu'ils avaient décidé de se lancer. Ils s'y sont simplement lancés, et ils l'ont tous fait tellement de fois et ont échoué à bien des égards, que finalement l'un d'entre eux a décollé. Je pense que c'était le fil conducteur.

J'ai réalisé qu'on ne peut pas avoir peur de l'échec. La nature de mettre un but, si vous mettez un but sur la glace dans une patinoire de hockey, vous allez le manquer. Même Wayne Gretzky n'atteint pas le but à chaque fois. Juste la nature de fixer un objectif signifie que vous allez échouer. Si vous n'échouez pas, vous ne vous fixez pas un objectif assez difficile. C'est la raison pour laquelle un but de hockey ne fait pas toute la largeur de la patinoire de hockey. Vous devez vous fixer des objectifs stimulants. Quand ils le font, cela crée une valeur. Cela devient un jeu. Cela devient quelque chose qui est difficile et que vous pouvez accomplir. La douceur d'atteindre cet objectif n'est là qu'en raison du défi et du nombre de fois que vous échouez.

Ce que j'ai réalisé, c'est que j'avais intégré des adoucisseurs dans tous mes échecs antérieurs. J'avais toujours dit : « Je n'ai pas les ressources. Je n'ai pas le temps. Je ne suis pas prêt pour ça dans ma vie. Cela me barre la route. Cela me barre la route. Au lieu de le regarder et de dire "Non, la raison pour laquelle cela a échoué, c'est moi." Si vous vous tenez là sur la ligne des lancers francs, que vous tirez vers ce panier et que vous avez raté le panneau, cela ne vous sert à rien de dire : « Mon lacet n'était pas attaché. Vous devez vous dire : « Hé, j'ai raté le panneau arrière. J'ai besoin d'amener cette chose à deux pieds sur la gauche, puis de re-tirer. Si vous ne construisez pas un échec précis, si vous n'admettez pas vos échecs en vérité, alors vous ne vous améliorez jamais, et c'était donc le problème, c'est que j'ai réalisé que je devais être honnête avec moi-même et que la raison pour laquelle je n'ai pas eu de succès, c'est que je n'ai pas défini le succès correctement. Pour moi, le succès est un objectif atteint. Cela signifie que quel que soit cet objectif, une fois que vous l'avez atteint, vous réussissez.

Je pense que beaucoup de gens dans les affaires et dans la vie, ils ont réalisé des choses incroyables et nous les regardons et nous disons, "Mec, ils ont tellement de succès." Ils se sentent intérieurement comme des échecs complets. Souvent, c'est parce qu'ils n'ont pas défini le succès. Ils n'ont pas défini cet objectif. Les choses qu'ils ont accomplies n'ont pas vraiment de valeur pour eux.

J'ai réalisé que, dans ma propre vie quand j'étais sur la route, j'avais un concert pour lequel les gens tueraient. Il y a des milliers de personnes en ligne pour mon concert, mais je n'étais pas content parce que ça n'a jamais été mon objectif. Je n'avais jamais eu l'intention d'être un ingénieur de façade, d'être un ingénieur de retour, un tour manager sur la route. Cela n'a jamais été mon rêve ni mon objectif. J'ai eu ce truc génial. Je gagnais de l'argent décent et j'étais malheureux au fond de moi, et c'était parce que je n'avais pas défini cela pour moi-même.

Tout ce cours de réalisation de toutes ces choses, hé, je dois reprendre le contrôle de ma vie. Je dois prendre des décisions. Je ne dois pas regarder ce que je voudrais ou quelle serait la plate-forme optimale pour que mon truc existe. Je dois décider d'y aller aujourd'hui et ensuite je dois admettre que je vais parfois échouer et que je dois être d'accord avec ça parce que si je ne le fais pas, je ne vais jamais m'améliorer et je suis ne fera jamais rien.

Alors que je dissèquais tous ces leaders mondiaux, je me disais: «Mec, la plus grande différence entre moi et Mark Cuban ou moi et Seth Godin, c'est qu'ils se sont lancés. Ils y sont allés et l'ont fait. Je suis assis ici et je ne le fais pas. Je pense que c'est le gros problème. Votre succès n'est pas garanti.

Tout le monde est comme, "Allez pour vos rêves." Si vous voyez Taylor Swift sur scène aux MTV Awards et qu'elle dit : « Pour vous tous, les adolescents, allez-y. Eh bien, je vis à Nashville. Je vois tous les Taylor Swift qui n'ont pas réussi qui sont tout aussi talentueux, tout aussi beaux et qui n'ont pas réussi. Vous ne pouvez pas vous baser sur les gens qui ont énormément de succès.

Tout le monde ne sera pas Mark Zuckerberg, mais si vous définissez le succès comme l'objectif que vous voulez atteindre pour vous-même et que vous y allez, alors vous pouvez atteindre cet objectif et quoi que ce soit, quoi que ce soit pour celui qui écoute. Allez-y, mais assurez-vous que c'est votre truc. Assurez-vous que ce n'est pas la chose que vous pensez être la rock star à rechercher. Assurez-vous que c'est votre truc et que vous allez être heureux avec ce style de vie que vous créez pour vous-même.

Félix : Je pense que vous êtes définitivement sur quelque chose à propos du fait que si vous ne définissez pas exactement quel est l'objectif, alors vous ne serez peut-être jamais heureux parce que vous pouvez réaliser toutes ces choses que d'autres personnes qui regardent votre bobine de temps fort et pensent, « Wow, ce gars a du succès. Il a fait toutes ces choses incroyables. A l'intérieur, vous ne vous sentez pas comme ça. Pensez-vous que c'est aussi une occasion, je suppose, d'avoir de la gratitude? Que pensez-vous de cela? Je pense que c'est le revers de la médaille d'être reconnaissant pour le succès que vous avez même si vous n'avez peut-être pas l'intention de l'atteindre comme objectif principal. Que pensez-vous de cela?

Don : Absolument, 100 %. Cela arrive tous les jours. Si vous y allez, ce que vous réalisez une fois que vous devenez entrepreneur… J'ai vraiment eu la chance d'être entouré de beaucoup d'entrepreneurs lorsque je travaillais chez EntreLeadership pour voir qu'ils avaient tous les mêmes points. Ils ont tous eu les mêmes luttes, et vous allez les avoir. Lorsque vous vous apprêtez à faire quoi que ce soit, que ce soit créatif ou commercial, vous allez avoir du mal et cela va devenir difficile. Lorsque vous le faites, votre attitude et la façon dont vous percevez cela définissent votre capacité à continuer.

La gratitude est l'un des principaux changeurs d'esprit. C'est la seule façon de voir votre point de vue et de vous réaligner pour continuer. Tous les jours, il y a des moments où je me dis : « Mec, je suis un génie. J'ai ce truc cloué. Puis deux minutes plus tard, je reçois un e-mail. Je me dis : « Pourquoi est-ce que je fais ça ? Je suis nul. C'est comme ça. Lorsque vous êtes un entrepreneur, que vous vous mettez en avant ou que vous faites un travail créatif, et que vous vous mettez en avant, et que vous êtes vulnérable, vous allez avoir ces oscillations. La plupart des gens ne le voient pas parce que c'est derrière le rideau. C'est pourquoi les podcasts comme celui-ci sont si géniaux parce que si je suis vulnérable, j'espère que quelqu'un qui écoute cela prendra quelque chose que j'ai dit même si c'est juste comme une petite pépite, et ils l'appliqueront à eux-mêmes, et alors ils peuvent payer cela en avant.

Je me regarde tout le temps et, au milieu de tout cela, je peux regarder autour de moi et je peux regarder les autres propriétaires d'entreprise autour de moi qui sont à 5X ou 10X là où je suis. Je peux dire, "Mec, ce serait tellement bien d'être eux." Vous devez vous rappeler qu'ils ont 5X et 10X les problèmes. Ils ont des problèmes différents ou des défis différents auxquels ils font face que moi.

Nous sommes sur le point de quitter la ville pour quelques semaines pour partir en vacances avec ma famille. Quand j'étais sur la route, je ne prenais pas de vacances. Nous nous sommes mariés et sommes tombés enceintes tout de suite. 10 ans plus tard, je lève les yeux et je n'ai pas pris de vacances. J'ai travaillé plus de 250 jours par an loin de ma famille sur la route. J'ai réalisé que je ne pouvais pas faire ça. Ce vendredi quand nous partons en vacances, nous sommes partis pour deux semaines, je peux encore réellement travailler sur mon entreprise. Je peux continuer à travailler et je peux me donner à 100 % le matin, puis je peux sortir l'après-midi. Je peux aller passer du temps avec ma famille. Je dois me rappeler que dans les moments où cela devient difficile, je dois faire quelque chose que des millions de personnes aimeraient pouvoir faire. Soyez reconnaissant pour cela et profitez des moments de réussite, des moments où vous avez atteint un objectif. C'était l'un de mes objectifs en lançant cette entreprise, c'était de pouvoir passer plus de temps avec ma famille.

Au cours des deux prochaines semaines, pendant que nous serons là-bas et que nous traînerons ensemble, je vais constamment me rappeler. C'est pourquoi je le fais. Ça va arriver. Dans deux mois, il va y avoir une énorme lutte et je vais y être. Ensuite, je vais devoir me rappeler: «Hé, c'est la saison où nous devons bousculer. C'est la saison où nous devons nous attacher. Pour se rappeler, hé, il y a des saisons de vente et puis il y a des saisons de récolte.

Félix : Je pense que c'est une excellente perspective à avoir. Une chose que j'ai… je suppose, un hack mental que j'ai utilisé pour être plus reconnaissant de ce que vous avez, c'est simplement de changer la façon dont vous vous parlez en interne. Une grande façon de le faire est juste… Je pense que souvent nous passons nos journées, en particulier en tant qu'entrepreneurs, en particulier en tant que personnes qui passent tant de temps à travailler, nous commençons à avoir cette conversation dans nos têtes sur le fait que je dois faire ça, ou Je dois faire ça, ou je dois lancer ça, ou je dois écrire ce blog. Changez-le simplement pour dire: «J'arrive à» ou «Je dois travailler là-dessus. J'arrive à écrire ce blog. Je peux faire ces choses parce que tout le monde n'a pas la possibilité de faire ces choses. Même si c'est considéré comme du travail, vous pouvez toujours être dans une position très, je suppose, envieuse même si vous faites tout ce genre de travail.

Don : Absolument.

Félix : Il semble que vous ayez été capable de porter un regard très objectif et impartial sur vous-même, et je pense que c'est à cela que vous attribuez votre dernier succès, car vous avez été capable de le faire. A-t-il toujours été facile pour vous de vous regarder objectivement comme ça, ou comment avez-vous construit cette compétence et cette vulnérabilité pour vous regarder aussi objectivement ?

Don : Mec, c'est une si bonne question. Je n'ai pas vraiment pensé à ça. Je l'ai certainement toujours fait. Aussi loin que je me souvienne, j'ai eu l'impression qu'il y avait quelque chose que j'étais censé faire et j'ai toujours eu l'impression d'être de la partie. Je ne sais pas d'où ça vient. Je ne sais pas pourquoi il est si intrinsèque en moi de regarder ma vie de ce point de vue objectif. Il a toujours été là.

Félix : Je pense que c'est l'un de ces attributs qui définit, non définit, mais aide vraiment à créer un entrepreneur, quelqu'un qui ressent en lui-même qu'il doit faire certaines choses pour atteindre son objectif. Je ne suis pas surpris que vous ayez toujours ressenti cela.

Vous avez mentionné un peu plus tôt comment votre travail précédent et votre carrière précédente vous ont permis de résoudre les problèmes et de décomposer les choses lorsque vous vouliez apprendre quelque chose. Pouvez-vous nous en dire un peu plus à ce sujet? Comment approcheriez-vous, disons, un entrepreneur solo qui a besoin d'apprendre toutes ces choses différentes pour lancer son entreprise et commercialiser son entreprise, et qui approche un canal de marketing ou quoi que ce soit qu'il n'ait jamais fait auparavant ? Comment aborderiez-vous cela, je suppose, à un niveau élevé ? Comment décomposeriez-vous une nouvelle compétence que vous devez acquérir pour gérer votre entreprise ?

Don : Google. Je sais que c'est une chose tellement boiteuse. Mec, nous avons tellement de ressources à portée de main en ce moment. C'est incroyable le montant… Il n'y a presque aucune excuse pour que vous ne sortiez pas et ne fassiez pas votre truc aujourd'hui à cause d'Internet, à cause de notre connexion aux gens, parce que nous pouvons accéder à n'importe quel type de créneau. Vous pouvez trouver des gens pour quoi que ce soit, la chose que vous voulez faire. Si vous ne pouvez pas, passez à autre chose car il y a toujours quelque chose pour tout le monde. Je regarde les produits qui sont vendus en ligne. Je me dis "Je n'arrive même pas à croire que quelqu'un vend ça", mais il y a un marché pour ça parce qu'Internet nous a donné la possibilité, comme le dit Seth Godin, d'être bizarre et d'accepter ça, et de se retrouver en ligne.

Avec le dépannage, en sortant et en essayant de trouver des trucs, YouTube est évidemment une énorme ressource. Les podcasts ont, je pense, été l'une des meilleures ressources pour moi. Pendant que je travaillais chez Dave Ramsey, le podcast EntreLeadership était vraiment génial. Je suis retourné dans la bibliothèque du passé et j'y ai trouvé des gens. Le podcast Tim Ferriss a été énorme. Je sais que c'est super populaire. Il patauge dans la boue profonde. C'est vraiment difficile à écouter et ils sont très longs, mais je tire toujours une pépite de ces choses.

Pour être honnête, je ne suis pas un grand lecteur. Lorsque je produisais EntreLeadership Podcast, j'ai dû lire une tonne de livres sur les affaires. J'applique toujours ces leçons à ma vie. J'ai réalisé en lisant ces livres que vous pouvez essentiellement lire le premier paragraphe et le dernier paragraphe de chaque chapitre et obtenir le chapitre entier. Généralement, la façon dont les livres d'affaires sont écrits est qu'ils vous donnent l'idée dès le départ, puis ils mettent du remplissage, puis ils résument l'idée à la fin. Vous pouvez à peu près parcourir n'importe quel livre et le lire de cette façon. Je n'encourage pas super les gens à le faire parce que vous pourriez manquer la leçon, ou l'analogie, ou la métaphore qui va vous inciter à avoir cette pensée. Si vous disposez d'un temps limité et que vous souhaitez le faire, il existe des sites Web tels que Executive Summary qui vous aideront à le faire.

Je pense que la chose la plus importante et la clé est d'identifier les personnes que vous pouvez regarder et vous pourriez dire: "Mec, je pense que leur type de vie est la vie que je veux." D'après mon expérience, regarder Seth Godin et le regarder construire son truc… C'est un loup solitaire. Il fait son truc tout seul et je m'identifie à ça. À ce jour, notre entreprise n'est composée que de ma femme et de moi-même. Nous faisons tout. Nous embauchons des entrepreneurs indépendants et nous vendons via Amazon en tant que canal, mais nous faisons tout notre tournage. Nous réalisons toutes nos fabrications. Je conçois à peu près la plupart de nos trucs. Nous en faisons beaucoup.

J'ai regardé ces gens comme Tim Ferriss ou Seth Godin et j'ai essayé d'identifier les gens… Casey Neistat est l'une de ces personnes que je pense que j'ai vraiment aimé récemment à cause du fait qu'il a pu construire son truc en longtemps lui-même. Maintenant, il acquiert les compétences nécessaires pour constituer une plus grande équipe et s'entourer de plus en plus de personnes. Je pense qu'identifier les gens à qui vous pensez, "Mec, ces gens ont compris certaines choses", puis commencer à le disséquer en reconnaissant que chaque fois que vous voyez quelque chose en ligne, chaque fois que vous voyez la publication Instagram ou la publication Facebook, vous ' re voir ce que quelqu'un veut que vous voyiez. La tendance quand vous faites cela est de regarder leur vie, et de faire cette comparaison, et de dire, "Mec, je ne suis pas là." Vous n'êtes pas là et ils ne sont probablement pas là. Ils ne sont probablement pas à l'endroit où vous pensez qu'ils sont. Vous devez vous rappeler, hé, tout le monde est humain. Ils ont probablement des difficultés aussi.

Si vous avez la possibilité d'écouter un podcast comme Tim Ferriss, vous attrapez souvent ces petites pépites. Vous attrapez les choses qui sortent où ils disent: "Hé, voici l'une des choses avec lesquelles je lutte dans ma propre vie." Vous pouvez aider à identifier cela avec cela et cela vous aide à vous donner une base de référence pour votre point de référence.

Félix : Je pense que la terminologie ou la phrase que j'aime le plus lorsque vous prêtez attention au portefeuille en ligne des gens, je suppose, qu'il s'agit d'un point fort et non des jours et des nuits de lutte pour arriver là où c'est à. Vous dites que c'est ce qu'ils veulent que vous voyiez. Évidemment, ils vont s'en occuper. Personne ne veut dévoiler ses défauts trop publiquement. Je pense que c'est certainement important de garder à l'esprit.

J'aime cette idée que vous avez dite qui consiste à découvrir les personnes ou la personne dont vous voulez vivre ou reproduire la vie parce que je n'ai jamais entendu personne dire cela auparavant. Cela a beaucoup de sens parce que beaucoup d'entrepreneurs, je pense, se lancent. Ils écoutent ce podcast. Ils veulent poursuivre une idée parce qu'ils veulent un style de vie spécifique ou qu'ils veulent laisser, peut-être pas tellement un héritage, mais ils veulent avoir un certain impact. Une fois que vous avez identifié cette personne ou cette vie que vous voulez vivre, comment procédez-vous pour la rétro-ingénierie ? Comment obtenez-vous réellement cela ou commencez-vous à progresser vers ce genre de vie ?

Don : C'est vraiment bien. Pour moi, cela a simplement consisté à consommer autant de contenu que possible. L'astuce est que, en cela, vous devez vous rappeler… C'est une chose au sein des entreprises que nous regardons et nous voulons pouvoir l'industrialiser, y apposer le sceau du clone et le reproduire. La vérité est que nous avons des empreintes digitales pour une raison. Nous sommes des individus uniques dans un univers d'expansion et de chaos. Notre existence même signifie que nous sommes uniques. Chaque respiration que nous prenons change le tissu de l'univers et en nous rappelant que lorsque vous vivez, vous ne pouvez pas reproduire … Je ne vais pas être Seth Godin, ou Casey Neistat, ou Tim Ferriss, ou l'une de ces personnes que je ' ai dit. Je vais être moi, mais je peux regarder les leçons qu'ils ont apprises. Je peux regarder la sagesse qu'ils ont et je peux en glaner. Ensuite, je peux l'appliquer à qui je suis.

Je pense que chaque fois que vous vous lancez dans quelque chose pour la première fois, lorsque vous commencez à reproduire quelqu'un, vous allez ressembler à un imitateur lorsque vous commencez à le faire. Tout ce que vous faites va commencer à ressembler à cette personne ou à ressembler à cette personne. Au fur et à mesure que vous traversez cette phase, vous commencez à réaliser votre voix et votre propre façon de faire les choses. Si toute votre vie est dans cette phase de copie initiale, ne vous faites pas prendre là-bas. Faire votre truc. Passez devant.

Parfois, le plus difficile est de commencer. Pour moi, en regardant ces vies et en disant, "Hé, je veux commencer à me mettre sur une trajectoire où je suis en charge de mon propre univers." Je n'ai personne qui me donne un guide touristique que je dois suivre. Je n'ai pas de feuille de route à faire. Je veux être capable d'ouvrir cette voie et d'être le pionnier de mon chemin, et donc je veux trouver des gens qui ont pu le faire par eux-mêmes et ensuite commencer à voir à quoi ressemblait leur chemin ? Comment naviguaient-ils dans ces eaux ?

Ensuite, comme vous l'avez dit, cette capacité à être objectif sur votre propre vie et à vous arrêter et à en voir la vue à 30 pieds a été énorme parce que vous ne voulez pas simplement reproduire ce que les autres ont fait. Vous voulez certainement glaner d'eux, prendre ce qu'ils ont fait et ensuite trouver des moyens de l'appliquer à votre propre intérêt et à ce qui fait de vous ce que vous êtes.

Félix : J'aime ce petit bijou que tu as laissé tomber là-dedans lorsque tu commences quoi que ce soit, tu vas ressembler à un imitateur. Évidemment, ne restez pas là, mais ne vous découragez pas non plus et n'ayez pas l'impression que vous n'êtes qu'un poseur ou que vous êtes faux, peu importe, et ne continuez pas à le poursuivre. Vous pensez à d'autres façons dont les gens apprennent à acquérir une nouvelle compétence. Si vous apprenez à jouer d'un nouvel instrument, vous ne commencez pas simplement par créer votre propre musique dès le départ. Personne ne fait de progrès de cette façon. Vous commencez par copier ce qui existe déjà juste pour pouvoir entrer dans le jeu. Une fois que vous êtes dans le jeu, c'est le seul moment où vous pouvez vraiment comprendre votre style et qui vous êtes.

Don : Exactement.

Félix : Vous avez mentionné un peu plus tôt comment vous consommez beaucoup de podcasts. Vous avez déjà lu beaucoup de livres. Je pense que c'est, je suppose, vraiment applicable pour les auditeurs de ce podcast et également très applicable à votre chemin où vous avez eu toutes ces idées. Vous avez tout ce contenu, toutes ces connaissances dans votre tête, mais la partie exécution est le moment où ça commence à devenir difficile. Comment avez-vous fait cette transition entre ramasser ce que vous avez appris dans le podcast ou ramasser ce que vous avez appris en lisant des livres ou des blogs, tout ce que tout le monde consomme, puis en mettant cela en action et en utilisant réellement… Premièrement , je suppose que vous identifiez ce que vous voulez mettre en action et que vous le réalisez réellement. Quel est votre processus pour cela ?

Don : Je pense que nous venons d'en parler très rapidement. Commencer est toujours la partie la plus difficile. Si vous avez un bus assis là, le plus difficile est de faire bouger le bus le premier peu. Amener les gens autour de vous et vous entourer de personnes qui veulent voir votre projet réussir est énorme. La chose Kickstarter pour nous était que pour cela. Ce n'est évidemment pas la voie pour tout le monde. Je connais beaucoup de gens autour de moi qui ont fait des Kickstarters qui ont échoué mais ça commence, ça avance, et puis vous prenez cet échec et vous modifiez. Ensuite, vous recommencez. Si vous commencez à pousser le bus, et qu'il va un peu, et que vous êtes contrarié qu'il ne soit pas tout de suite à 65 miles à l'heure, hé, ne vous en faites pas. Cela arrivera au prochain.

Je pense que pour moi en particulier, toute cette idée de passer de l'idée et de la théorie à l'exécution, c'est littéralement le faire, sortir et le faire. Si vous souhaitez créer un site Web, connectez-vous et commencez simplement à le créer. Arrête juste de trouver des excuses. Arrêtez de dire : « J'ai besoin de cinq mille dollars pour payer un développeur. Nous vivons dans le monde de Shopify. J'ai une grande histoire de Shopify que nous pourrions aborder à un moment donné.

J'attendais que les développeurs me créent un site Web et je me disais simplement : « Tu sais quoi ? Je vais le faire moi-même parce qu'ils ont six mois de retard. Je n'en tire pas ce que je veux, alors je vais aller sur Shopify, et je vais en fait créer un site Web. Je l'ai construit en une semaine. Ensuite, mon ami qui est codeur revient et corrige toutes les erreurs que j'ai commises en le déchirant. C'est juste la chose. Je me disais : "Tu sais quoi ? Je vais juste commencer par l'essai gratuit. Je vais y entrer. Je vais voir si je peux faire un gâchis et faire bouger les choses. Je pense que c'est la chose la plus importante, c'est qu'il suffit d'y aller et de commencer à faire ce que c'est aujourd'hui.

When I was working at Dave Ramsey, and I'm producing this podcast, and I'm working nine to five, and I'm not moving forward at the speed that I want to and I'm struggling, and I'm like, “What am I supposed to do here?” I realized, “I'm working 40 hours a week. I have another 40 hours that I can easily get.” The year before that, I was working 80 hours a week. I know that I have more time. We all have the same amount of time. It's how bad do you want it. When I realized that, I came home from work and, two hours, I'd get my kids in bed. Then I'd go work on my thing that night. Whatever it is that is holding you back, instead of being like, “I wish I had this thing to get started,” just go, “What can I do with what I have today?” There are resources, like I said, online. If you just ask that one question of yourself, what can I do with what I have today, that activates a completely different part of your brain, and it will help you just go start doing something.

Felix: I really like that. I think that's an important thing to almost just have it printed out and put in a wall in front of you because a lot of times, even though we don't realize it consciously, you make up a lot of excuses. You make up a lot of obstacles just so that we can excuse ourselves from getting started. I think it might be going back to laziness or fear of failure. I'm not sure what it is but a lot of times-

Don: That's the big one.

Felix: We just create these obstacles. You're basically suggesting people just get started, take action. Mark Zuckerberg was the famous one for saying, “Move fast, break things,” for anybody that joins Facebook for the first time. Do you think it's possible or is it possible that you could take action too quickly? Is there a scenario where you might be moving too fast? Que pensez-vous de cela?

Don: Yeah. Here's my theory on that. I think if you take the hard road which is if you go out and you just start making stuff … We're in the eCommerce space. Let's say you have an idea to make some kind of … I'm looking at a wallet that was handmade in front of me. You want to start making wallets. Well, the wallet space is … There's a million people selling wallets but they're easy to make. People always need wallets, and so see if it's going to make you happy to make some wallets. Make 10 or 12 wallets and see if you can sell them and start with 10 or 12. Then once you sold those 12, take it to another 24 and reinvest the money that you made making the 24. If you've done anything more than break-even, keep selling wallets. Go for it.

Where I think you move too fast is we want to … I like to use this analogy. We want to lose weight, so we're going to go out and we're going to lose some weight. We go to Lululemon. We buy the yoga pants, or you go to the Nike outlet and you buy the shoes. You buy the short and you got the thing. Then you go get the gym membership and then you run. Half a mile into it, you're like, “This sucks. I don't want to do this.” Then you go back. Don't leverage yourself to a point.

That's one of the big lessons that I've learned. When we first got married, my wife and I took on just a bunch of stupid debt like eating out too much, putting health costs on credit cards, just being ridiculous with money. We ended up accruing like $80,000 in debt. That was just crippling. A lot of the reason that I was on the road in gigs that I didn't want to keep doing was that I was trying to pay off our debt, and I was trying to do the responsible thing and get back out of it. Because of that, debt really taught me a lesson which is it can be a tool to help you get over a wall. It's a rope. It can be a rope to help you get over the wall but it can also tie you up behind the wall. I think when you're starting the thing, the thing that gets you …

You ask the question: can I move too fast? I don't know if it's that you move too fast. I think it's that you think too fast. You get into this trap of I'm going to raise a bunch of money. I'm going to go do this thing, and you don't really even know if you have a real business yet. You don't really know if the idea is fully formed yet. Just because you have a great idea doesn't mean that you have a great business. Just because you have a great product doesn't mean you have a great business. Learn in stages and go for it in stages. Get out there, and start making a mess, and start doing things, but try not to leverage yourself.

All of my failed ideas that I put stuff down in the basement that I've put the Nerdwax in, all of those failed ideas were me going out … One of them was screen printing t-shirts. At one point, I just got really into screen printing t-shirts. I went and bought a whole basement load of screen printing stuff to screen print t-shirts. It was terrible. J'ai détesté. If I had just gone to a screen printing shop and said, “Hey, can I intern for free in the afternoons?” and done it, maybe I would have enjoyed it. The idea that I'm going to start this screen printing business in my basement was such a terrible, terrible way to start, but I learned from that and I moved it into … That failure was definitely something that I carried forward. Start small. Just start small and start going. When you start small and then you build to the next thing, and then you build to the next level, I don't know that you can move too fast doing it that way.

Félix : C'est logique. Let's talk about your very first step towards creating this business which is the Kickstarter campaign. Just to recap really quickly, you only had a goal of $5,000, ended up raising over $60,000 from nearly 3,000 backers. You said that you got your very first backer just from some stranger you didn't know within 24 hours of launching. Comment est-ce arrivé? 2014 wasn't that long ago. I think Kickstarter was a lot easier back in its inception. 2014 wasn't that long ago. What do you credit the first, I guess, traction to that early?

Don: I think it all comes down to people all the time say, “You got to have a good idea. You have to have a good idea, a compelling product.” I think we have that with Nerdwax. I think it's something that people actually go, “Man, I wish I would have thought of that.” I think that it's a really cool new thing that hits on a lot of pain points for a lot of people and it's a thing that people didn't really know was a problem. I think in the video I say, “It's something that I never knew I needed, but once I have it, I can't imagine life without it.” It's one of those things so I think that helped.

In our Kickstarter, just that early traction came from people who subscribed to basically Kickstarter blogs, and so they have Kick Tracker. They see all these new projects and they just enjoy being the first to move and helping new products and new ideas. I think the low price point helped us. It's a $10 product so that was easy. People who are in overseas can justify 10 bucks and they're like, “Hey, I'll give you $10.” The Kickstarter thing, if you can find a price point around $20, that's the optimum price point for Kickstarter because people don't have a problem dropping $20. If you fail, it's not a big risk.

Then I also had bigger levels. We had three people, one of which was a complete strange, gave us $500 in the campaign. We had some crazy support. I realized if you don't build those levels into the campaign, you're essentially just leaving money on the table because the people in the Kickstarter community actually like people, and they like the people that come up with the idea. You got to have a good idea but then also remember that you are selling you.

If you're going to Kickstarter, or Indiegogo, or one of these crowdfunding platforms, at the essence … You don't always have to do this. Obviously, there's a million projects that have not done this. From my experience and being the grassroots, we didn't pay for any advertising at all, our success was built on the fact that I was very vulnerable, let people know who I am and our story. I did that in a very concise way. I let them know here's what we need, here's the challenges we faced, here's what you're going to get for helping us out. When you can do that and make that call to action very precise and clear, I think that you can move product on Kickstarter. It's not even an issue.

Felix: I think on Kickstarter and just in eCommerce in general, like you're saying, people want to buy from other people. They don't want to buy from some faceless brand. You're saying you are selling you at the end of the day. It sounds like the way that you've done this is by being vulnerable on the Kickstarter page and the video that you're putting out there. Do you think that that's the only way or are there other ways to sell yourself, or do you have to get out there and be vulnerable and put it all out there?

Don: Yeah. I was heavily influenced by the Brene Brown TED Talk that she did on vulnerability. I think it was a big lesson for me of just, hey, realizing that vulnerability begets vulnerability and trust begets trust and so going out there and doing that … It depends on the brand that you're building. With Nerdwax, all of our content is very personable. None of it feels like a big brand. Now, that might not be great for your idea. You might want to feel like a big brand. You might be dealing with a lot of perceptions in a space where the trust comes from a being a big brand or looking like you have a lot of employees or whatever the thing is.

It comes down to, like what we're talking about earlier, deciding what you want for your company. That's a big thing that I realize. When I'm looking around and I see the 5Xers and the 10Xers above me, hey, they're building something that I'm not building. Look at the thing that you're building and realize, “Hey, they're building a high-rise, or a condo, or a multiplex. I'm building a house.” C'est bon. Not everybody needs to build a billion-dollar business. You can build a lifestyle business and be very happy and have bandwidth in your life to go and do the other things that you want to do. It doesn't always have to be your vocation. It can be your avocation. You can do really cool, creative, fun work without it being your income.

A big thing with this business specifically has been, for me, building a business that creates more bandwidth in my life. I don't want to be on the ground managing a team of 12 all the time. It's not my skillset. That's not what I'm building. When I look around me and I see people that have these businesses and that's what they're building, the tendency is to go, “They're doing it. I should probably do it, too.” Then you have to remind yourself like is that the thing do you want? Is that the goal that you're setting out and trying to achieve? For me, that's not what I'm trying to achieve. That means I sacrifice in other ways. We're not going to have the gross sales that that company has. We're going to have much lower gross sales but I enjoy my life, and my time, and the lifestyle that I'm creating while getting to build this brand.

Felix: One thing you mentioned about the Kickstarter campaign was that it's a product that people never knew they needed, I guess likely they don't know that exist, but once they try it, once they purchase it, they get it. They understand why they need a product like this. How does that affect your marketing? Thousands of people aren't going to be out there searching for this particular solution because they might not even know that there is a solution like this that exists. What's your approach to marketing a product like this?

Don: Man, it's been a huge challenge. The thing that we haven't talked about at all is we were on Shark Tank in October of last year. To date, that has been the biggest driver of our sales over time. We went from a $136,000 in the beginning of last year to then almost a million dollars in gross sales now to date. Most of that came from the traffic that was driven by Shark Tank. I credit Shark Tank to being very similar to the way that we approach Kickstarter, which is I'm being vulnerable. This is me as an entrepreneur. This is my family. We're building this business together. I think those two things have been the biggest driver of our success so far.

Now, we aired last October. We're going into August here pretty soon. The traffic has slowed down from Shark Tank. We're not having that same traction that we had before. Now, it gets into how are we actually going to market this in a repeatable way that is meaningful? How can I build in these funnels and how can I drive traffic into those funnels? How can I build the funnels, and then how can I drive traffic into them? That challenge, I haven't figured out yet. That's not where we're at in our business. I know that's the challenge ahead and have been working on those for a while now. We're going to be implementing those things here in the next couple months.

I don't know if I have a ton to say like, “Hey, here's what we've done that's able to drive traffic to your site in ways to just go dig up.” Shark Tank, Kickstarter. We are covered in Daily Mail. We're on Mashable. All of those things happened organically because we just started going out and making a ruckus because we did something, like Seth Godin says, that's remarkable so it's worth making a remark about.

They see somebody whose glasses are slipping and they do the classic like nerd on the finger glasses push. The person says, “Hey, have you heard of Nerdwax?” They're like, “Nerdwax, what's that?” We are worth making a remark about. If we were Sticky Glasses Grip and the person is like, “Hey, your glasses are sliding. You need some Sticky Glasses Grip.” They're like, “Eh.” It's just be fun, be weird, be you and whatever that is. Maybe you're not weird and fun. C'est bon. You do you. Whatever that is, you do you and make sure that it's something. If you're trying to make a ruckus, if you're trying to make a noise in your space, think about what is it that's going to get people talking to each other about the thing that I'm doing.

Felix: Just looking at the success that you had with these channels, it sounds like if you do have a product that people don't know they need or don't know that exist, the key to marketing this is to have a remarkable product like you're saying or remarkable story and get the PR. Get the publications to write about you. Shark Tank, I think, I would consider as a form of PR as well. That's the only way to get out to the masses because then if they're not actively searching or you, then you have to get out there in front of them essentially.

Don: Here's the thing. Let me just touch on that because people are going to hear that and think, “Well, I'm not on Shark Tank or I'm not on Mashable.” They're like, “I have to pay for PR or I have to do something that's hard to do.” That's not necessarily true. Bloggers make their living talking about stuff. They're always looking for something to talk about. They're always looking for stories to tell. If you can write that story for them, if you can take the work out of it, and you can give them the cool thing, and you can be remarkable, they will find you, and so that's a big thing. Don't make the excuse of, “Hey, I have to go out and do these things.” C'était génial. Kickstarter is awesome. Shark Tank was awesome.

Maintenant, vient le travail de, hé, comment pouvons-nous faire encore plus de vagues ? Comment faire parler les gens ? Vous ne pouvez pas quantifier cela aussi facilement que vous le souhaitez : "Hé, je vais sortir et je vais embaucher une personne chargée des relations publiques pour qu'elle gère ces communiqués de presse pour moi." C'est une chose vraiment quantifiable à faire. Je pense que vous pouvez le faire, mais assurez-vous que vous avez mis en place l'infrastructure avant de partir et de le faire. Assurez-vous que vous avez quelque chose dont ils voudront faire partie. Sinon, vous avez une bataille difficile.

Félix : C'est tout à fait logique. En parlant de Shark Tank, vous êtes entré dans le réservoir dans le but de lever ou d'obtenir 80 000 $ d'investissements pour 20 % de l'entreprise. Que s'est-il passé ? Quel a été le résultat final de ce pitch sur Shark Tank ?

Don : J'avais fait juste un petit commentaire plus tôt sur notre version de la dette, mais plus ou moins sur ma vision de la dette. C'est que la dette ne fait que compliquer les choses. Lorsque vous investissez, vous avez maintenant différentes personnes à qui vous devez plaire en dehors de vous-même, de votre vision et de la direction que vous souhaitez prendre. Nous sommes entrés en connaissant les requins avec lesquels nous voulions nous aligner et nous avons reçu deux offres. Un de Kevin, puis nous avons eu un requin devin Troy Carter qui est le manager de Lady Gaga, ancien manager. Tous les deux se sont aventurés.

L'offre de Kevin était : « Je te donnerai les 80 000 $ mais je veux 240 000 $ en retour et je veux 3 % pour avoir fait cette affaire. C'est terrible… Il voulait 10 % des ventes brutes jusqu'à ce que ses 240 soient remboursés. C'est terrible, c'est définitivement la corde derrière le mur qui va vous empêcher d'avancer parce que sur Shark Tank en particulier, ils savent que vous allez avoir une grosse, énorme vague de ventes. Un produit comme le nôtre qui est comme un prix de 10 $ qui a un attrait grand public, ce produit va probablement rapporter une énorme somme d'argent ici très bientôt. Si vous pouviez en prendre 10%, nous aurions déjà remboursé Kevin et il posséderait désormais 3% de mon entreprise et ne ferait absolument aucun travail ou ferait partie de notre entreprise.

À moins que j'apprécie cette relation et ce que je pense qu'il va faire pour nous à l'avenir, alors cela n'a aucun sens d'accepter cette offre. Pour nous, Kevin ne correspondait pas vraiment à notre image de marque et à l'histoire que je voulais raconter. Je pense que nous aurions conclu un accord avec Kevin s'il avait manifesté son intérêt. Vous pouvez dire dans cette émission quand Kevin fait une offre et qu'il est vraiment intéressé par l'entreprise et quand il fait juste une offre de cotes du pot dont il sait qu'elle va lui rembourser son argent. Je pouvais voir très facilement qu'il ne nous faisait pas une offre qui signifiait qu'il voulait faire partie de la croissance de notre entreprise et de la croissance de notre marque. Il essayait juste de gagner de l'argent. Je ne le blâme pas pour ça. Il a la plate-forme. C'est génial mais ce n'était pas quelque chose que nous voulions faire.

Troy Carter était une offre très similaire. Vous êtes là pendant une heure et ils montrent huit minutes de votre segment. Tu parles si longtemps. Nous avons parlé de beaucoup de choses et je n'ai tout simplement pas eu l'impression qu'il y avait une crise. En fin de compte, nous avons refusé les offres qui nous étaient présentées. Mark et Damon nous encourageaient tous les deux à ne pas accepter d'offre tout le temps. Ils nous disaient : « Vous n'êtes pas prêts. N'investissez pas maintenant. C'est vraiment une mauvaise idée. Contrôlez votre propre destin.

J'avais déjà ressenti ça en entrant. C'est vraiment dur. Lorsque vous rassemblez toutes vos données et vos chiffres pour Shark Tank, vous consacrez beaucoup de temps et d'investissements et vous savez tout sur votre entreprise. Je me rends compte, hé, nous ne sommes pas vraiment prêts pour un investissement énorme, mais nous avons ces problèmes de fabrication dont nous devons nous occuper. S'ils peuvent venir nous aider, ce serait génial. S'ils ne le peuvent pas, c'est probablement non. Lorsque nous avons su qu'il n'y avait pas de bon ajustement, nous nous sommes éloignés de ces offres.

Si vous envisagez d'aller sur Shark Tank, vous faites partie de toute cette file d'attente de vouloir être dans le spectacle ou vous êtes un fan du spectacle, vous avez une entreprise et vous pensez que vous seriez parfait pour Shark Tank, rappelez-vous juste que seulement 30% des transactions que vous voyez faites à la télévision sont réellement conclues. Lorsque vous entrez dans cette arène, il y a de fortes chances qu'elle ne ferme pas. Plus important que d'obtenir l'accord, c'est la façon dont vous abordez le fait d'être devant autant de gens qui aiment les relations publiques.

Contrôler l'histoire était vraiment important pour moi. Pendant tout le temps que j'étais là-dedans, je me demandais comment ils allaient éditer ça ensemble ? Comment vont-ils… Je veux m'assurer que nous sommes perçus de la manière dont je veux être perçu. Je veux m'assurer que nous sourions constamment. Que nous sommes super positifs. Que nous sommes vraiment excités. Je pensais à toutes ces choses que je voulais que les gens associent à moi et à ma marque et moins à l'investissement, aux détails pratiques et à l'obtention d'un accord. Je pense que beaucoup de gens vont et se concentrent sur l'affaire.

J'ai l'impression que tu devrais retourner ça. Connaissez vos chiffres. Sachez avec qui vous voulez faire affaire. Connaître la structure d'investissement mais y aller en pensant comment vais-je être perçu par le public américain ? C'est ce qui se résume pour moi. Cela a été un énorme moteur pour notre entreprise et nous a ouvert tant de portes. J'ai l'impression que la plus grande partie de cela était juste intentionnellement, être vulnérable avec des gens comme nous parlions et dire: «Hé, c'est qui je suis. C'est ma marque. Voici ce que nous faisons.

Felix : Je pense que peut-être que beaucoup d'auditeurs ne suivront pas la même voie que vous, je suppose, mais peut-être qu'à une plus petite échelle, ils cherchent à accepter des investissements de la part d'amis et de la famille ou peut-être d'un investisseur providentiel. Vous avez mentionné, je suppose, Mark dans l'émission et quelques autres requins ont dit que vous n'étiez pas encore prêt. Je pense que c'est un… Je n'entends pas ça trop souvent, surtout dans le monde des startups dans lequel nous vivons tous aujourd'hui. Prendre l'argent. Obtenez le plus rapidement possible. Plus d'argent, mieux c'est. Ne vous souciez de rien d'autre. L'objectif est toujours d'obtenir de plus en plus de financements. Parlez-nous un peu de cela. Qu'en était-il de votre entreprise ? Qu'y a-t-il dans les [séjours 00:56:42] dans lesquels vous êtes qui a fait dire cela à Mark ? Je suppose que vous aviez également décidé que vous n'étiez pas prêt à investir et quand une entreprise est-elle prête à investir ?

Don : Je ne sais pas s'il y a une chose nécessaire que je peux souligner que je dirais que c'est le point où vous êtes prêt. Je pense que ce qui se résume pour moi, c'est qu'il y a toujours un compromis. Lorsque vous prenez de l'argent, vous négociez soit des actions de votre entreprise, soit des pourcentages de bénéfices, car vous allez rembourser cela avec des intérêts. Qu'est-ce que vous échangez et que gagnez-vous ? Pour moi, je ne voulais pas troquer toutes les composantes créatives de notre entreprise. Ce que nous faisons aujourd'hui, beaucoup de gens diraient : « Êtes-vous d'accord avec le nom ? Nous ne pensons tout simplement pas que les noms sont géniaux. Je suis comme, "Non, j'aime le nom. C'est une grande partie de cela. Je n'échangerais pas ça. Chaque fois que vous apportez cette relation…

Le gars pour qui je travaillais, Dave Ramsey, sa grande ligne était le seul navire qui ne navigue pas est un partenariat. Cela vient juste du fait qu'il a construit sa propre entreprise au fil du temps et qu'il est vraiment têtu. Si c'est votre cas, un partenariat ou un investissement n'est peut-être pas la meilleure chose pour vous. C'est pourquoi dans l'espace de démarrage, c'est aller vite, aller fort ou rentrer à la maison. Ce n'est pas comme ça qu'il faut l'aborder tout le temps. Je travaille beaucoup et je travaille tout le temps. Je me suis levé à sept heures ce matin. Il est presque 9 heures. J'y vais encore et c'est bien parce que j'aime ça. Une grande partie de cela, pour moi, c'est que si le travail n'est pas agréable, si l'atmosphère n'est pas agréable, si les gens avec qui vous êtes en partenariat ne sont pas agréables, alors pourquoi le faire ?

Je sais que c'est une chose très vague, mais je l'aborde du point de vue de je ne sais pas s'il existe une taille unique, qu'il y a un moment précis où vous le prenez. Nous aimons tous nous impliquer dans les métriques, comme le train de roulement. Nous aimons nous impliquer dans votre taux de conversion, votre trafic et vos chiffres. Toutes ces choses sont super. Ils nous aident à quantifier. Ils nous aident à mesurer. Ils nous aident à nous améliorer. Vraiment, quelle est la qualité de votre vie ?

J'ai entendu quelqu'un parler récemment de… Il y a votre moi à court terme et il y a votre moi à long terme. Si vous vous concentrez uniquement sur l'un, l'autre en souffre. Vous pouvez regarder votre moi à court terme et vous dire : « Je dois vivre pour aujourd'hui. Je ne vais pas économiser. Je n'aurai pas d'assurance maladie. Je vais juste y aller fort pour ça. C'est génial. Votre moi à court terme va prospérer, mais votre moi à long terme va en souffrir. Si vous ne regardez que votre moi à long terme et que vous vous dites : « Je vais économiser chaque centime que je gagne et je vais baisser le nez. Je vais le sucer et je vais faire ce travail que je déteste. Votre moi à court terme souffre et vous mourez un peu à l'intérieur chaque jour. Vous devez équilibrer ces deux choses et vous devez vous considérer comme deux personnes : votre moi à court terme et votre moi à long terme. Assurez-vous d'équilibrer cela.

Personnellement, je connaissais le stress que la dette avait sur nous en tant que famille et que nous devions simplement des choses aux gens. Je ne voulais pas continuer à devoir des choses aux gens. Si nous pouvions trouver un investisseur qui était prêt à donner de l'argent mais qui voulait faire partie de l'entreprise et qu'il allait la développer avec nous, génial. Ça a du sens. Tant qu'ils ont l'adhésion et tant qu'ils sont avec, sachez simplement que vous échangez une chose contre une autre chose.

Je suis vraiment content des affaires que nous avons. Dans six mois, ça va probablement être complètement différent de ce à quoi ça ressemble aujourd'hui. Cela revient à ce dont nous parlions plus tôt. Soyez reconnaissant pour ce que vous construisez quand vous le construisez. Regardez-le objectivement et posez simplement votre question. Seth Godin en parle tout le temps. Il est comme, "Est-ce que le compromis en vaut la peine?" Vous faites un compromis tout le temps. Regardez-le et dites : « Hé, est-ce que ça vaut le coup ? Est-ce que cela me rapproche du but ? Est-ce que cela me rapproche un peu plus de ce que j'essaie d'accomplir ? »

Félix : J'adore. Quels sont vos objectifs? Quels sont vos projets pour l'année prochaine ? Quels sont les objectifs que vous souhaitez atteindre pour Nerdwax au cours de la prochaine année ?

Don : Absolument. Nous envisageons en ce moment de construire sur un parcours moins axé sur les relations publiques, évidemment parce que passer de Kickstarter et le succès et faire du chahut en ligne jusqu'à Shark Tank a été ces énormes, grands pics, puis une immense vallée. Je suis vraiment excité à l'idée de prendre un élan plus équilibré, comme regarder l'avenir et planifier quelques mois, six, huit mois. Nous avons en fait une certaine bande passante maintenant. Cela fait partie de la possession de votre entreprise. Vous pouvez décider où va tout l'argent. Nous n'en sachons pas un tas. Nous avons un tampon. Pour la première fois de toute notre vie, nous avons un tampon. J'ai un tampon temporel et un tampon financier. Nous pouvons regarder cela. Cela libère votre cerveau pour faire de meilleurs choix. En ce moment, je regarde l'année prochaine et je pense : « Quels produits est-ce que je veux ajouter ? Comment vais-je aborder cela ? »

Comme vous le disiez plus tôt, changer l'état d'esprit de je dois à je peux. J'ai cette chose en moi et je l'ai toujours. C'est comme Pistol Pete disait toujours quand il s'entraînait, il avait l'impression que quelqu'un devenait meilleur que lui ou quand il ne s'entraînait pas, il sentait que quelqu'un devenait meilleur que lui. Je ressens toujours ce feu à l'intérieur de moi, c'est comme si je devais passer à autre chose. Je dois aller faire la prochaine chose ou quoi que ce soit, et je suis vraiment hors de forme à propos de la prochaine chose. Cette dernière saison a été, "Vous savez quoi? Je dois faire la prochaine chose. J'ai l'opportunité en ce moment et les défis qui m'attendent, hé, comment vais-je commercialiser cela à l'avenir ? C'est le défi que je dois résoudre aujourd'hui.

C'était vraiment amusant. J'ai changé mon état d'esprit à ce sujet et cela a été difficile. C'est parfois nul, mais c'est aussi très amusant juste parce que mon état d'esprit a été : « Qu'est-ce que je vais faire ensuite ? » Je ne sais pas mais je vais me renseigner.

Félix : Génial. Merci beaucoup Don. Nerdwax.com est le site Web. NERDWAX point com. N'importe où ailleurs, vous recommandez à nos auditeurs de passer à la caisse pour suivre ce que vous faites ?

Don : Ouais. Nous sommes Nerdwax sur tout : Instagram, Twitter, Facebook, YouTube. Nous sommes Nerdwax. J'espère que nous allons faire plus de contenu YouTube. Je pense que ça va être une chaîne vraiment amusante pour nous. Nous avons beaucoup parlé de moi, de ma famille et de notre histoire. J'espère qu'ici dans le futur on va voir, je ne sais pas si ça va tenir, mais on va essayer de commencer à faire des trucs YouTube. Je pense que ça pourrait être vraiment amusant et que ça pourrait être une chaîne vraiment cool pour nous. Nerdwax.

Félix : Génial. Merci beaucoup Don.

Don : Merci, Félix. J'ai bien aimé ça.

Felix : Merci d'avoir écouté Shopify Masters, le podcast de marketing e-commerce pour les entrepreneurs ambitieux. Pour démarrer votre boutique aujourd'hui, rendez-vous sur Shopify.com/masters pour réclamer votre essai gratuit prolongé de 30 jours.