900 messages plus tard : comment Sublime Stitching a rationalisé son marketing de contenu

Publié: 2017-03-09

Le marketing de contenu est une approche du marketing dans laquelle vous pouvez toujours améliorer votre retour sur investissement en optimisant votre processus pour dépenser moins de temps, d'efforts et d'argent.

Jenny Hart est la fondatrice de Sublime Stitching, un studio contemporain de broderie à la main.

Dans cet épisode de Shopify Masters, elle expliquera comment et pourquoi elle s'est fortement appuyée sur le marketing de contenu via son blog et le processus qu'elle a utilisé pour créer près de 900 articles en 16 ans.

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    "J'avais l'habitude d'écrire des articles de blog beaucoup plus longs que maintenant. Alors que maintenant j'essaie de les garder courts et précis, et puis une fois par semaine, j'aime avoir quelque chose de charnu que vous pouvez vous asseoir et lire."

    Branchez-vous pour apprendre

    • Comment rationaliser la création de contenu pour un blog qui a produit près de 900 articles.
    • Comment utiliser Instagram pour promouvoir le contenu que vous créez.
    • Sur quoi un artiste doit-il se concentrer s'il veut transformer sa passion en entreprise.

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      Boutique : Sublime Stitching
      Profils sociaux : Facebook, Twitter, Instagram

      Transcription:

      Felix : Aujourd'hui, je suis rejoint par Jenny Hart de sublimestitching.com. Sublime Stitching est un studio contemporain de broderie à la main et a été lancé en 2001 et actuellement basé à Los Angeles, en Californie. Bienvenue Jenny.

      Jenny : Salut, merci.

      Félix : Parlez-nous un peu plus de ce que cela veut dire… Qu'est-ce que la broderie à la main signifie, quel est le ou les produits que vous vendez ?

      Jenny : Eh bien, j'ai commencé à concevoir des motifs pour la broderie à la main, des kits, des outils et des textiles à une époque où les gens ne travaillaient plus vraiment dans la broderie à la main. C'est quelque chose dont je suis devenu accro en tant qu'artiste, j'ai commencé à l'expérimenter. Autrefois, c'était l'un des piliers des magasins [inaudible 00:01:45], c'était les motifs de broderie. Dans les années 80, c'est vraiment passé de mode et vous n'aviez vraiment que des points de croix durs qui fonctionnaient encore. Ce que je fais, c'est de la broderie en surface, c'est un peu comme [inaudible 00:01:58] ou sur des vestes en jean et ça avait juste… Il n'y avait plus vraiment d'entreprises qui concevaient activement pour la broderie à la main. J'y voyais un vrai besoin, je pensais qu'il y avait une génération qui ne s'en emparait pas et qui ne s'y intéressait pas parce qu'elle l'assimilait à l'esthétique plus ancienne.

      Je savais que vous pouviez quelque chose de nouveau avec, vous pouviez faire de la broderie n'importe quoi, cela peut toujours être contemporain. En 2001, j'ai lancé Sublime Stitching et j'ai commencé à publier des motifs de transfert thermocollants, ce sont des modèles que vous mettez sur du tissu que vous pouvez broder le long des lignes. Le cœur de cela est de travailler avec des artistes, j'ai commencé à travailler et à collaborer avec beaucoup d'artistes dont j'aime vraiment le travail que vous ne pourriez pas voir autrement comme du design artisanal commercial. Je voulais vraiment faire quelque chose de nouveau avec ça, redonner envie aux gens de broder à la main parce que c'était une nouvelle passion pour moi et c'est un peu comme quand on découvre quelque chose pour la première fois, on veut faire participer tout le monde et ça était vraiment l'impulsion pour Sublime Stitching.

      Félix : Très cool. 2001, c'était à l'ère d'Internet, c'est il y a très longtemps. C'était probablement avant l'arrivée de toutes les plates-formes de commerce électronique faciles. Comment vendiez-vous les produits, était-ce en ligne ou vendiez-vous également hors ligne ?

      Jenny : Je ne vendais pas hors ligne pour commencer, Sublime Stitching est né d'un blog, j'ai commencé à bloguer en 1999. Puis quand j'ai commencé à travailler dans la broderie, j'ai lancé un blog… Je pense que c'était un blog pendant un mois appelé Sublime Stitching où c'était juste poster mon travail en broderie. J'ai codé à la main mon premier site Web pour le commerce électronique, je n'ai pas… Il n'y avait pas vraiment de plates-formes prêtes à l'emploi à l'époque. Je ne connaissais pas Dreamweaver, je ne le connaissais pas. J'ai appris le HTML simple et j'ai construit mon premier site Web de cette façon. J'ai aussi couru comme ça pendant les six premières années comme un fou. Nous avons également utilisé… [Mels-E 00:04:11] était mon panier, authorised.net. C'était toutes ces choses que vous étiez… Je pense que c'est toujours vrai aujourd'hui, mais avec beaucoup plus d'outils car j'essayais vraiment de coudre ensemble beaucoup de pièces désespérées et de créer un site de commerce électronique.

      Félix : L'intention a toujours été de créer une entreprise parce que vous avez mentionné qu'il s'agissait d'un blog au début. Aviez-vous l'intention de créer une entreprise autour de ce blog ?

      Jenny : Je l'ai fait. La broderie à la main était pour moi ce projet qui me venait à l'esprit que je voulais entreprendre depuis longtemps, comme quand vous dites : « Un jour, j'apprendrai l'italien ». Pour moi, pendant de nombreuses années, c'était « Un jour, j'apprendrai la broderie à la main », parce que je pense que ce serait vraiment intéressant pour mon travail et en même temps, je me suis dit : « Tu sais, ce serait vraiment génial si il y avait une entreprise qui fabriquait des motifs de broderie sympas, qui avaient des thèmes mis à jour. Cela me trotte toujours dans la tête avec, je pense, les gens qui ont l'esprit d'entreprise, se bousculent ces idées pendant longtemps et disent: «J'ai toujours eu cette idée pour les affaires.»

      Sublime Stitching avant qu'il n'ait un nom était une idée avec laquelle je jouais depuis longtemps et je cherchais en parallèle des solutions de fabrication. Cela ne s'est vraiment concrétisé qu'en 2001, juste à partir d'une confluence de différentes choses où j'étais vraiment prêt à le concrétiser et à en faire une véritable entreprise.

      Felix : Vous avez mentionné que les gens ne travaillaient plus vraiment avec la broderie à la main. Avez-vous eu l'impression de devoir convaincre beaucoup de gens de l'essayer à nouveau parce que je pense que l'un des avantages et des inconvénients d'être sur un marché qui a disparu ou qui n'est pas encore populaire est que vous êtes l'un des premiers les gens à emménager, vous n'avez pas de concurrence mais d'un autre côté cela peut vouloir dire qu'il n'y a pas beaucoup de… Il n'y a pas non plus de clients là-bas. Était-ce un problème difficile pour vous au début, avez-vous eu des problèmes pour trouver des clients au début parce que ce n'était plus une activité à la mode ou populaire, je suppose, pour les gens ?

      Jenny : Eh bien, je considérais mon client comme moi-même essentiellement où j'étais quelqu'un qui… je n'avais aucun intérêt pour la couture, je n'ai pas grandi en cousant, je n'aimais pas l'artisanat. Pour moi, l'artisanat était quelque chose que les enfants de la maternelle faisaient, je me considérais comme un bon artiste avec une pratique en studio. Sachant ce qui m'a fait changer d'avis sur la broderie à la main et ce qui m'a enthousiasmé, je savais que ce seraient mes outils de communication avec d'autres personnes qui n'y avaient jamais pensé et comment je pourrais le mettre devant leurs yeux d'une manière différente. Un autre aspect très important de cela était que je travaillais dans la broderie à la main en tant qu'artiste, donc je créais des travaux de broderie à la main et une grande partie du travail était publiée, des illustrations, elle était exposée. Je recevais beaucoup de presse et beaucoup d'attention pour mes œuvres à l'époque.

      C'était un grand… Beaucoup de gens regardaient mon travail et disaient : « Je n'avais jamais vu de broderie comme ça, je ne savais pas qu'on pouvait faire ça avec, j'aimerais pouvoir essayer ça. Vous [inaudible 00:07:17], "Eh bien, j'ai cette entreprise, Sublime Stitching, puis-je vous intéresser à certains modèles et vous apprendre à piquer?" J'ai eu ce bon point de départ avec mon travail qui était sorti depuis environ un an à ce moment-là et j'ai reçu cette réponse si fortement de la part des gens qui ont vu le travail qui n'était pas toujours typique. Je trouve cela vraiment intéressant quand on regarde les beaux-arts, votre premier réflexe n'est pas toujours de dire : « Je veux faire ce tableau ». C'est quelque chose de très différent à propos de la broderie à la main, c'est qu'elle est considérée comme accessible et quelque chose qui… Elle est à la fois considérée comme accessible et inaccessible.

      C'est considéré comme accessible dans la mesure où ils regardent mon travail dans la galerie et disent : « Je sais ce que c'est, c'est de la broderie à la main. Garçon, j'adorerais faire ça, regarde quelle chose cool tu peux faire avec ça, je n'y avais jamais pensé de cette façon. Ensuite, la réalité est que je ne sais pas broder, je ne connais personne qui sache broder et c'est la meilleure façon d'apprendre, c'est d'avoir quelqu'un qui vous enseigne. Sublime Stitching consistait essentiellement à amener les gens à franchir cet obstacle ou cet obstacle perçu. Deux perceptions, l'une qu'il est vraiment difficile de commencer, ce n'est pas le cas, c'est très facile de commencer et qu'il fallait recoudre des ours en peluche et des lapins, ce n'est pas le cas. Regardez mon travail, regardez ce que j'en fais, vous pouvez faire quelque chose d'aussi unique et d'aussi créatif.

      Félix : Oui, je pense que c'est un problème ou un problème que beaucoup de propriétaires de magasins rencontrent et qu'ils doivent convaincre parce que les gens ont ces idées préconçues sur les produits qu'ils vendent ou les activités entourant ce produit. Que faisiez-vous exactement pour aider les gens à surmonter cet obstacle ?

      Jenny : Je suis d'accord avec ce que vous venez de dire, je pense que si vous avez… Je n'avais pas juste un produit final à acheter comme un cadeau ou un bibelot qui, je pense, peut être intrinsèquement beaucoup plus difficile à vendre. J'avais une histoire avec. Ce que j'ai fait, mes tout premiers efforts ont vu le jour et je pense que cela s'applique à quiconque ne fait que dire aux gens de ma communauté ce que je faisais. J'étais très actif dans un forum de discussion en ligne à l'époque appelé Glitter et c'était sur un site Web appelé Get Crafty. C'était vraiment un très… C'était une sorte de point zéro pour le mouvement DIY à l'époque où beaucoup de gens qui étaient à la première Renegade Craft Fair étaient dans ces forums. Beaucoup de gens travaillaient, nous le partagions, en parlions et c'était un endroit où je pouvais dire : "Hé, j'ai travaillé pour cette entreprise Sublime Stitching, j'aimerais vraiment vous montrer mon modèles, cela vous dérangerait-il de consulter mon site Web, d'obtenir des commentaires ? »

      Je pense que c'est un excellent point de départ pour toute personne ayant son entreprise. Ensuite, l'autre chose très réelle qui va sonner super analogique, c'est que j'avais un… BUST Magazine m'a embauché pour faire une illustration. En fait, je les avais contactés avec mon travail et ils ont dit: "Oui, nous serions ravis de vous donner un emploi." Ils ont publié une illustration pleine page, c'était un portrait brodé à la main que j'ai fait pour un article et j'ai dit: «Au lieu de payer pour ma signature, pourriez-vous s'il vous plaît gérer mon site Web, sublimestiching.com? Vous n'avez même pas besoin de mettre mon nom, il suffit de mettre mon site Web. Ils l'ont fait, ils ont en fait couru mon nom aussi, mais ma signature était Jenny Hart, sublimestiching.com et c'était mes premiers yeux devant les gens ou les yeux sur mon site Web et j'ai eu un peu de trafic et j'ai juste construit dessus à partir de là.

      Felix : Toutes ces choses que vous dites, les forums auxquels vous alliez, le blog que vous avez créé, les relations publiques que vous avez obtenues en faisant ce travail et en leur demandant essentiellement de vous renvoyer vers votre site. Ce sont toutes des choses qui sont encore des stratégies de marketing très valables aujourd'hui et qui sont peut-être même beaucoup plus populaires ces dernières années. Est-ce toujours ce que vous faites aujourd'hui pour générer du trafic et de nouveaux clients vers votre entreprise ?

      Jenny : Eh bien, nous examinons vraiment… Cela a beaucoup changé pour moi. Je fais encore… C'est beaucoup de… Mon entreprise vit sur beaucoup de bouche à oreille. J'avais l'habitude de faire beaucoup de publicité imprimée, j'avais l'habitude de faire beaucoup de publicité imprimée alternative dans des zines comme Punk Planet et Juxtapoz et le Comics Journal et BUST. Je pense qu'avoir un premier contact avec votre communauté, des gens qui sont d'autres entrepreneurs ou des gens qui connaissent votre entreprise et comprennent bien ce que vous essayez d'en faire est un excellent premier point. Ensuite, rien qu'en en parlant, je parlais toujours de ce sur quoi je travaillais et j'avais toujours une carte sur moi, je disais toujours… Les gens pensaient : « C'est plutôt amusant, j'aimerais en savoir plus sur ce." J'avais toujours des cartes promo sur moi.

      Nous avions l'habitude de faire des échanges promotionnels avec d'autres entreprises Web via les forums. En fait utilisé pour les organiser là où nous échangerions des cadeaux promotionnels pour mettre nos envois sortants. C'était une chose amusante parce qu'alors nos clients recevaient peut-être un bouton d'un pouce ou un petit autocollant de pare-chocs qui provenait d'une autre entreprise et cela ressemblait à un petit sac de cadeaux. Ce qui était différent, c'est que les médias sociaux n'existaient pas comme ils le font maintenant. Année après année, j'essaie toujours de comprendre de nouvelles façons de naviguer et d'y faire en sorte que Sublime Stitching soit présent. Ce n'est pas toujours évident au début. Quand Instagram était nouveau, quand Pinterest était nouveau, je ne comprenais pas encore comment les gens allaient jouer avec ça et où notre présence avait du sens.

      Je pense qu'en fait, c'est maintenant que nous examinons le plus fort pour comprendre d'où viennent les clients via ces canaux, comment ils aiment interagir avec moi parce que j'ai une très… J'aime entretenir une relation assez individuelle avec mes clients. Je réponds à beaucoup de nos e-mails et communique directement avec eux. Beaucoup de ces trucs de base que vous avez mentionnés au début que j'avais l'habitude de faire, je le fais toujours. Je pense que notre newsletter est notre moyen numéro un de communiquer avec les gens et attire plus de personnes si quelqu'un la partage, stimule les ventes. Beaucoup de vrais fondamentaux sont restés les mêmes.

      Félix : [Inaudible 00:13:30], ce qui est réconfortant dans le marketing, c'est que comme vous le dites, les fondamentaux restent les mêmes, les chaînes, de nouvelles apparaissent tout le temps comme Instagram par exemple sont [inaudible 00:13 :39] mais beaucoup de techniques le sont et les fondations sont toujours restées les mêmes. Vous avez mentionné plus tôt que l'entreprise a vraiment démarré avec le blog. Je jette un coup d'œil à votre blog actuel, est-ce le même blog que vous aviez hébergé sur sublimestitching.com ou est-ce sur un site Web séparé ?

      Jenny : Non, c'est pareil. Quand il a commencé, c'était un blog spot de blog et j'avais probablement cela comme plugin pour mon site HTML à l'époque. Cela fait si longtemps que je ne m'en souviens pas, mais lorsque nous sommes passés de Drupal à Shopify, tous les articles de blog ont été migrés. Mes articles de blog remontent à 2003. Les photos sont cassées pour le moment, si vous remontez assez loin, les photos ne sont pas là, nous essayons de résoudre ce problème. La seule partie qui n'y est pas, ce sont les tout premiers articles que j'ai écrits en 2001. Pour le meilleur ou pour le pire, toutes mes entrées de blog sont toujours là.

      Félix : Ouais, je regarde, c'est incroyable. Vous avez près de 900 articles, ce qui représente une tonne d'articles, une tonne de dévouement et bien sûr, c'est formidable que vous ayez cette cohérence sur tant d'années différentes, au fil des ans. Qu'êtes-vous… Comment décidez-vous du type de contenu que vous devriez créer pour le blog et parlez-nous de son évolution au fil du temps depuis le début jusqu'à aujourd'hui, du type de contenu que vous créez ?

      Jenny : C'est le cas et vous avez dit que c'était génial d'avoir cette cohérence et je regarde mon blog et je vois comment j'ai essayé de le rationaliser, des choses comme avoir toujours la même taille d'image. J'avais l'habitude d'écrire des articles de blog beaucoup plus longs que maintenant, alors que maintenant j'essaie de les garder courts et précis, puis une fois par semaine, j'aime obtenir quelque chose de charnu que vous pouvez vous asseoir et lire. Cela a toujours été un mélange d'intérêts personnels, de nouvelles versions de produits, de conseils et de techniques que les gens aimeraient, et aussi d'essayer de comprendre où ces choses veulent vivre. Par exemple, des tutoriels, j'ai beaucoup de tutoriels de broderie. J'aime toujours les annoncer sur le blog mais je me demandais si je voulais que ce contenu vive sur le blog ou si je voulais qu'il ait sa propre page discrète.

      Beaucoup de ces choses où nous exécutons un exercice sur la façon dont nous allons annoncer cela, où nous allons l'annoncer sur Instagram et cela va les diriger vers où. Envoyons-les sur le blog, est-ce que la leçon complète va être là, tout ça. Ça change, je ne dirais pas qu'on a trouvé une formule parfaite pour les choses, je pense qu'on est… j'essaie aussi parce que ça me facilite la tâche, je n'essaie pas de réinventer la roue chaque fois que je m'assieds pour faire un tutoriel et comprendre où il va vivre. Nous réorganisons en fait une grande partie de cela en ce moment et cela rend les choses tellement plus faciles si vous… Je sais que cela devient écrasant, je sais que je suis dépassé, mais si vous avez une entreprise et que vous réfléchissez à la façon dont vous allez pour le promouvoir ou si vous avez du contenu que vous allez pousser, si vous pouvez juste mordre un morceau à la fois et le faire fonctionner.

      Si vous avez un modèle que vous pouvez utiliser, que vous pouvez créer vous-même, que vous savez que vous pouvez utiliser encore et encore et ne pas vous tourmenter d'être marié, sachez que vous pouvez apporter des modifications si cela ne fonctionne pas comme il se doit. Cela permet de réduire considérablement votre travail. Il vous est plus facile d'y revenir et de le refaire. Nous avons beaucoup de ces processus en place en ce moment que nous essayons de… Nous les affinons constamment, vous voyez vraiment constamment comment ça s'est passé, en regardant les commentaires et les informations, en voyant… Si vous vous avez l'impression que cela a réussi, puis vous vous adaptez ou vous dites : "D'accord, super, maintenant nous sommes prêts à laisser la petite machine fonctionner pour ainsi dire."

      Félix : J'aime les deux choses très importantes que vous avez mentionnées et que je veux souligner. L'une est d'avoir ces processus, mais aussi de ne pas avoir l'impression d'être marié à cela, de ne pas avoir l'impression de devoir suivre le processus dès le début. La dernière chose que vous voulez faire est de ne pas avoir ce genre d'hésitation, ce genre d'analyse ou de paralysie par l'analyse parce que vous ne pouvez pas avancer à moins que ce soit parfait. Ensuite, cela conduit à un simple évitement, n'est-ce pas? Vous commencez à éviter le travail, à éviter de passer par ce processus parce que vous n'aimez pas ça et parce que vous êtes trop attaché à cette idée d'être parfait. À part le blog, quels autres types de processus vous ont le plus aidé à gérer l'entreprise, qui ont résisté à l'épreuve du temps au fil des ans ?

      Jenny : Pour moi ce serait… je viens de le changer mais ce serait un modèle de newsletter. Je me suis vraiment assis et j'ai élaboré un modèle de newsletter pour moi-même il y a quelques années afin que cela ne me prenne pas quatre heures pour faire la newsletter. Cela a énormément aidé et c'est difficile et frustrant au moment où vous le faites parce que vous essayez de créer un système qui n'existe pas ou un processus qui n'existe pas encore. Vous devez le fabriquer vous-même. Ce que j'ai appris, c'est que cette journée frustrante ou cet après-midi où je mets tout de côté et dis : « Je vais le faire », vaut toujours la peine. Même si je n'arrive pas à ce point où j'ai l'impression "D'accord, je l'ai perfectionné." si je peux juste aller jusqu'au point où je me dis : « J'ai fait avancer la balle », je peux envoyer ça.

      Un excellent paramètre pour les entreprises, en particulier lorsque vous vous angoissez du genre "Eh bien, je veux que ma marque soit parfaitement représentée de cette façon." Un excellent paramètre est : "Est-ce que cela va m'embarrasser ?" Si cela ne va pas vous embarrasser, si vous pouvez vivre avec et que cela vous aidera à passer à la chose suivante, alors allez-y et mettez-le là-bas. Je pense que la plus grande source de tension pour moi quand je travaille est d'essayer de comprendre où se trouve cette ligne, c'est comme : « Le dessin est-il vraiment terminé, la peinture est-elle vraiment terminée ? Non, il a besoin d'un coup de pinceau de plus. Peut-être que ce n'est pas le cas, sortez-le simplement, vous le verrez avec de nouveaux yeux une fois qu'il sera là aussi. Vous avez quelque chose à partir duquel travailler et nous l'appelons également la marche des 20 milles, fait référence aux explorateurs de l'Arctique où, quelles que soient les conditions, quelle que soit la gravité du blizzard, vous deviez parcourir vos 20 milles tous les jours.

      Si vous ne le faisiez pas, si vous preniez un jour de congé, vous n'iriez pas jusqu'au bout. Vous ne pouviez pas vous permettre de vous arrêter, il vous suffisait de faire ce segment chaque jour. C'est l'attitude que j'essaie de garder avec un travail comme celui-là.

      Félix : Que faites-vous les jours où vous n'avez tout simplement pas envie de le faire, est-ce que vous… Comment faites-vous pour que… Comme vous le disiez, vous persévérez même si vous n'aimez pas faire ce. Y a-t-il des conseils, des astuces qui vous permettent de faire des choses que vous ne voulez pas faire ou de faire des choses lorsque vous ne vous sentez pas motivé pour les faire ?

      Jenny : Il y a deux choses que je fais. La première est que si je n'ai vraiment pas envie de travailler, si je n'ai vraiment, vraiment pas envie de travailler, si je peux, je prendrai un jour de congé ou je prendrai un après-midi de congé. La raison en est que si je ne veux pas travailler et que je me sens juste frustré, je ne vais pas être productif et je ne vais pas vraiment faire le travail. Je ne me serai pas non plus accordé la pause dont j'avais manifestement besoin. J'essaie toujours d'éviter d'habiter l'espace du "Eh bien, je n'ai pas vraiment eu de journée de travail et je n'ai pas vraiment eu de jour de congé." C'est soit je suis absent, soit je travaille. Une astuce que je me joue est que si je dois me concentrer sur une tâche que je n'ai pas vraiment envie de faire, je vais m'arracher une carotte en disant : "D'accord, eh bien, si tu peux faire ça alors vous pouvez continuer à faire cela.

      Quelque chose que je suis vraiment excité de commencer, je projette que je veux commencer. Ensuite, je vais juste voler à travers cette chose que je ne voulais pas vraiment faire et maintenant je suis sur ce projet amusant que je voulais démarrer.

      Félix : Génial. Je veux retourner sur le blog très vite. Vous avez mentionné qu'il y avait beaucoup de types de contenu différents que vous créez, des tutoriels, vous pourriez écrire sur des intérêts personnels ou des produits personnels que vous aimez ou vous pourriez écrire sur de nouveaux produits que vous lancez sur le magasin . Trouvez-vous que les différents types de contenu que vous créez ont des effets différents sur votre entreprise ?

      Jenny : Oui, je trouve que nous obtenons beaucoup plus d'engagement lorsqu'il s'agit d'articles de blog plus personnels. J'ai posté une anecdote assez personnelle sur le blog lorsque Carrie Fisher est décédée que vos auditeurs pourraient trouver intéressant à lire. Cela a obtenu une grande réponse. Autres choses qui concernent les coulisses, je suis allée à Paris en décembre dernier et j'y ai visité deux entreprises, dont une est une entreprise de fabrication de fil de soie qui existe depuis 1820. Elle est dirigée par la petite-fille du fondateur. Avoir de petits aperçus de cela, j'aime voir cela, j'aime connaître l'histoire derrière les produits. Nous recevons beaucoup de réponses à cela. J'utilise un peu le blog juste pour chaque fois qu'un événement ou une annonce se produit et cela ne génère pas nécessairement de commentaires, mais ce n'est pas vraiment conçu pour cela.

      Les tutoriels et le contenu éducatif sont un attrait principal pour mon site Web, c'est l'une des choses que nous apprenons. Ça l'a toujours été, ça va de pair avec mon métier, je ne pourrais pas vraiment proposer et faire ce que je fais si je n'enseignais pas en même temps aux gens comment faire de la broderie main qui me passionne et que je veux faire de toute façon. Ce ne serait pas… J'aurais un produit suspendu là-bas sans manuel d'utilisation si je n'avais pas ça. Je reçois beaucoup de gens qui viennent sur le site Web, pas nécessairement parce qu'ils ont eu Sublime Stitching ou qu'ils le recherchent, bien qu'il y ait cet aspect. Une grande partie vient à nous simplement parce que les gens veulent apprendre à faire un nœud français ou ils veulent apprendre à faire un point satin et cela les amène à moi.

      Félix : Une autre chose que j'ai remarquée à propos de votre blog, c'est qu'il y a beaucoup de photos, beaucoup de photos différentes aussi. Je ne peux pas imaginer que vous ayez été en mesure de rationaliser tout cela aussi, n'est-ce pas ? On dirait que c'est tout… Au moins, je ne reconnais [inaudible 00:23:55] aucun de ceux-ci. Comment avez-vous pu faciliter ce processus de création de photos pour votre blog ?

      Jenny : Une chose que je fais, c'est que j'ai un petit cadre qui entoure toutes mes photos. À l'origine, lorsque je bloguais, je mettais simplement n'importe quelle photo, cela n'aurait pas… Je n'aimais pas l'apparence des filigranes, mais je sentais que je devais avoir un avis de droit d'auteur avec mes images, nous pouvons dire qu'elles étaient utilisées , les gens les republieraient simplement et il n'y aurait pas de lien de retour. L'une des choses que j'ai faites, c'est que j'ai commencé à utiliser ces petits cadres et à quoi ils ressemblent, c'est qu'ils ressemblent à un vieux bord imprimé polaroid coupé froissé. Ensuite, cela me donne ce joli tableau blanc et j'ai juste mon avis de droit d'auteur et ma société parce que j'ai remarqué que les gens utiliseront ces images sur leurs propres blogs et cela ne me dérange pas parce que c'est ma trouvaille via Sublime Stitching et le crédit y a-t-il.

      C'est toujours agréable. Pour la photographie proprement dite, avoir un iPhone c'est super parce qu'il y a 12 ans je n'avais pas ça, j'avais un appareil photo numérique. Récemment, nous venons de créer un studio photo de produits que je n'avais jamais eu auparavant, ce qui est une bénédiction. C'est tellement génial d'avoir… J'ai une table sans couture et des lumières installées alors que dans le passé, j'ai toujours chassé la lumière du soleil avec un morceau de noyau en mousse blanche en essayant d'obtenir la meilleure image possible. Je pense que c'est quelque chose auquel beaucoup de gens peuvent s'identifier, mais récemment, nous avons monté un très bon petit studio. Il vit là où il se trouve, nous pouvons simplement intervenir, photographier des choses, cela réduit le temps de nettoyage de l'image et de Photoshop.

      En fait, lorsque vous avez appelé, c'est ce que je faisais, je faisais des photos de produits pour une nouvelle ligne que nous publions.

      Félix : Dans ce cas, c'est frais dans votre esprit, je pense que le studio photo produit est une bonne chose à avoir parce que vous n'avez pas besoin de le configurer constamment comme vous dites chasser la lumière naturelle pour obtenir un bon photo. Quels sont les éléments clés de l'équipement si quelqu'un d'autre veut créer quelque chose comme ça afin qu'il puisse faire la même chose que vous, être en mesure de produire essentiellement des photos pour son blog ou simplement du contenu en général ?

      Jenny : Eh bien, j'ai… je ne sais pas quel type d'appareil photo j'ai en tête, ce qui est embarrassant. Je peux vous dire quand nous en aurons terminé, je peux vous donner cette information. J'ai un très… C'est très modeste, vous pouvez vous procurer du papier sans couture sur Amazon ou dans la plupart des magasins de fournitures de studio photo. Je suis à Los Angeles aussi donc nous connaissons des photographes et en fait ce que j'ai fait, c'est que j'ai embauché un ami qui est un photographe professionnel et j'ai dit : « Pouvez-vous m'aider à installer mon studio, je vais vous montrer comment je dois photographiez tout, je veux que vous installiez mon appareil photo. Nous avons deux lumières, une table, du papier sans couture, une panne d'électricité. Cela peut aussi être un luxe d'espace, nous avons une pièce supplémentaire où nous pouvons mettre cela en place et ne pas avoir à le démonter du tout.

      Cela ne doit pas prendre beaucoup de place, du moins pas pour moi, mes produits sont très petits. C'était la clé pour moi, j'ai commencé à demander à des amis et à dire: "Connaissez-vous quelqu'un qui pourrait faire ça?" J'ai dit : « Amenez-moi à l'endroit où mon appareil photo est installé pour que je puisse prendre les photos et je n'aurai pas à réajuster ma balance des blancs à chaque fois et à m'aider à régler les lumières. Cela a très bien fonctionné.

      Félix : Génial. Maintenant, quand vous… Je veux retourner sur le blog très vite. Lorsque vous créez ce contenu, c'est formidable d'y mettre tous ces efforts et tout, [inaudible 00:27:22] vos articles plus tard. Comment le promouvez-vous, comment tirez-vous le meilleur parti du travail que vous avez consacré à sa création ?

      Jenny : Eh bien, je ne sais pas si j'en tire le meilleur parti en ce moment, mais je poste sur Twitter, je le publierai sur Facebook. Pinterest est celui qui m'a échappé pendant longtemps. Lorsque Pinterest est sorti pour la première fois, je n'ai vraiment pas tout à fait… C'est ce que je disais plus tôt où il n'avait pas encore été façonné par la façon dont les gens l'utilisaient eux-mêmes. Il me semble que c'était vraiment strictement pour poster les travaux des autres pour dire : « C'est ce qui m'inspire, c'est mon babillard personnel. Ce n'était pas vraiment acceptable de publier son propre travail ou… Je cherchais un moyen de dire : « D'accord, eh bien, j'aimerais mettre mon travail devant d'autres personnes et leur faire voir la broderie. Il m'a fallu beaucoup de temps pour voir comment les gens utilisent Pinterest pour comprendre où Sublime Stitching s'intègre à cela.

      Instagram, j'aime vraiment, vraiment utiliser Instagram, j'ai en fait quatre comptes Instagram. Je publierai des choses là-bas, qui suscitent beaucoup d'intérêt sur le blog et encore une fois, via ma newsletter. Le trafic le plus important sur mon blog provient probablement du moment où je dis : "Hé, il y a quelque chose sur le blog que vous voudrez peut-être consulter." Je le fais via la newsletter.

      Félix : Lorsque vous publiez des articles sur Instagram, faites-vous des choses comme mettre à jour votre biographie afin que les gens puissent facilement cliquer dessus et voir cet article de blog ou leur dites-vous simplement de saisir l'URL du blog eux-mêmes ?

      Jenny : J'essaie vraiment d'être vigilante quant à la mise à jour de l'URL dans la bio afin que lorsque les gens consultent la bio, ils puissent y accéder directement. La version mobile de mon site Web est actuellement un peu obsolète, nous attendons en fait une nouvelle version du site Web cette semaine. Je ne veux vraiment pas envoyer des gens là-bas à la recherche, surtout le blog peut être un peu difficile à repérer. En fait, nous avons récemment réorganisé le bios à quelques reprises, juste pour plus de clarté et aussi parce que j'ai ajouté un nouveau compte Instagram et que je voulais qu'il y soit reflété. J'utilise aussi les trois comptes Instagram que j'ai pour me parler et dire : "Hé, ça se passe là-bas et ça se passe là-bas." Pour expliquer, l'un est mon compte personnel, l'un est pour l'entreprise Sublime Stitching et l'autre est juste @embroidery sur Instagram et c'est tout le travail que les gens font passé et présent dans la broderie à la main que je trouve vraiment excitant et vraiment inspirant.

      C'est juste de la broderie pour les yeux et j'avais l'habitude de la publier sur Sublime Stitching mais je me sentais toujours en conflit avec… J'avais l'impression que je pouvais avoir un compte entier consacré à cela et je voulais pouvoir séparer les deux. Je suis toujours dans un tourbillon de médias sociaux, dans le passé, ça a toujours été, "D'accord, maintenant je vais courir ici et je vais le poster là-bas et maintenant je vais courir sur Facebook et Je vais le poster là-bas. Maintenant, je vais taper… "Maintenant, nous essayons vraiment d'être intelligents à ce sujet, pas seulement de jeter un tas de billes et de voir ce qui se passe, mais de le faire une à la fois et de voir quelles sont les réponses et de l'évaluer , voyons si nous pouvons le peaufiner et l'améliorer avant de passer à la chose suivante, car nous n'avions pas vraiment fait cela dans le passé.

      Felix : Ouais, c'est un bon point parce que souvent les gens prendront la voie de la promotion juste… Vaporisez et priez, n'est-ce pas ? Mettez tout cela là-bas, tournez un tuyau d'incendie et, espérons-le, quelqu'un l'attrapera à un moment donné. Vous voulez adopter une approche beaucoup plus intelligente pour le faire. Pouvez-vous en dire un peu plus à ce sujet, comment déterminez-vous où… Surtout lorsque vous avez ces trois comptes Instagram, comment allez-vous déterminer ce que vous devez publier, ce que vous devez promouvoir et où ?

      Jenny : Je pense que certains médias sociaux viennent naturellement aux gens comme vous et vous comprenez comment cela fonctionne. Vous n'avez pas besoin de savoir ce que vous allez publier et Instagram me semble ainsi. [Inaudible 00:31:18] vaporiser et prier est assez drôle. Je pense que c'est en fait une approche décente quand vous commencez, c'est comme ça que j'étais au début, c'était juste comme, "Blah, blah, tout le monde c'est Sublime Stitching, tout tout le temps." Au bout d'un moment, je pense que vous… C'est dur quand on dirige une entreprise, on n'a pas le temps, on n'a pas forcément les jauges du tableau de bord pour lire toutes ces informations. Sublime Stitching, c'est moi, mon partenaire et un employé à temps plein.

      Mon partenaire qui est mon fiancé, il a sa propre entreprise et ce n'est vraiment que depuis l'année dernière qu'il a réellement commencé à travailler de manière ciblée sur mon entreprise avec moi. Une grande partie de ce qu'il fait consiste à collecter des informations via Google Analytics. For me that's the kind of thing where you're an octopus when you have a small business, you're doing so many different things. That was just the point where I said, I give, I can't even jump into that ocean of information, I don't know how to pass it out. He's very, very good at that. It's been really eye opening and interesting to me to look at that information and we're just at the point where we're starting to understand how we might use it.

      Like I said earlier, the thing that we see is that we have different conversion rates, I think this is true for any business but you just may not have the information to point it out to yourself, that our conversion rate depends on how people came to the website. We have customers that come to our site organically and then we have customers that come to us who were looking for a tutorial. A lot of times for example, you'll have someone who they discover us and their entry point is the how to section, they don't buy anything but they leave with a free pattern. They may do this again and again and again and then three years later, they'll place a $200 order. For my website that's a big order because most of the products are $20 or less.

      Whereas you have a different metric for somebody who came organically, landed on the first page. All of that we're trying to look at and understand. It's an inexact science and it's been really interesting having an online business for so long of just how there weren't these tools there before. You were feeling around in the dark and trying to understand what came from it and now you can actually see it. It's really crucial that … You really need to look at it to understand because I know for some people it's kind of scary, I don't know why that is where it's like, “I don't actually want to look at the numbers, I don't want to know.” Maybe with your book keeping or whatever but it's so … I find it just the opposite, I find it so reassuring once I know what those numbers are.

      Then you can start putting your energy into things that aren't working. You'll, “I don't have to do 10 Instagram posts today because it's actually not converting into any sales whereas I haven't been on Pinterest in eight months and that's where all of these sales are coming from.”

      Felix: Now what if it's working but not as well as other channels because in your example where the conversion rates vary depending on how they enter your site. Someone might come along and look at the tutorials first and then you have to wait three years, maybe that exaggerates. Anyway, you have to wait a while before they ever buy anything from you versus someone that maybe comes organically or does some kind of Google search and finds your site. Then within that first visit they buy something. Does that mean that you should stop trying to get those people that take three years to buy and focus more on the people that will buy immediately or how do you determine what to do with that information?

      Jenny: I don't think so, I don't think you should … I think that … For us, then we have things that we're trying, little tweaks. To be honest, I don't really have an answer for that. I would tell you, you don't want to give up on it, you want to talk about different strategies or figure out how … What people are responding to on that. We can look and see where we had a day where we had a peak and maybe that was a day that I released a tutorial on Pinterest and I hadn't done anything on there for three months and it generated this. Well, let's do that again, let's see if that's working. It's like hitting the nail on the head, once you find the nail, hit the head again. It's hard, small businesses have the advantage of being nimble and quick and you can change.

      If you're really excited about it and you're paying attention or if you have somebody that likes to pay attention in that way, it's valuable but I don't know that I have any more specific advice that I could give other than I don't think it should be ignored, I think … I do think you want to nurture and pay attention to the ones have a dynamic response to what you're doing that you can see. You can see it pretty quickly, you don't have to have a, like you said, a year or two years. We can see results in a couple of weeks through changes we make. If you have the stomach for it, it's really worth it, it's … Take back to the idea of the 20 mile march, if you can say, “In the morning I'm going to work on social media or in the morning I'm going to spend an hour looking at my Google analytics even if I don't know where to start, even if I just am going to understand one thing about it.”

      It'll really help you move forward. I try to segment my days that way a little bit so I don't feel like I'm just stepping into this blizzard of to dos each time.

      Felix: It sounds like teaching and education is a big proponent of your content strategy and a great way for you to bring in new customers. Now after being in business for so long, having so much content, do you ever feel like you've run out of things to teach?

      Jenny: No, not with hand embroidery. Hand embroidery is a very, very deep subject and that's one of the reasons why it's so interesting to me is that it's something that you can dip your toes in and enjoy from a very superficial level and just … You can go really deep on it as a subject. There's endless ways of playing with it and innovating it and designing product for it. No, I feel just the opposite, I feel like I can't believe I've gotten so little content out. Also from having content from reaching back so far as I look back at things and I see maybe a blog post or a tutorial or a technique and I've learned so much from that point. There are ways I would have maybe approached it differently or there's new information.

      I like to revisit that too and say, “Remember years ago I taught you how to do this? Well here's another thing I've learned alongside it or since then.” I think that has a lot of … It's a big part of why I've been doing this so long is it's a personal passion and interest of mine and it's one that is just, it's such a deep well of information and ideas that it just feels like it has room for ample experimentation.

      Felix: One other interesting thing that you mentioned to me was that not only are you educating the actual customer or the people that are visiting your site, you also want to help your customers teach their friends hand embroidery. Can you speak a little bit more about this?

      Jenny: Yeah, I'm really excited about this. February is national embroidery month and I've known this for a long time. Every year people go, “Hey, it's February, it's national embroidery month, yay!” This year we thought, wouldn't it be cool if we facilitated people teaching each other? Instead of just saying, “Hey, it's national embroidery month,” let's actually celebrate it in a meaningful, active way by encouraging people to celebrate it and acknowledge it by teaching each other. That's the best way to learn hand embroidery, it's a really nice thing to do and we … We set up, we did a blog post where we said, “Let's make it national teach embroidery month, we want you to participate with us. If you will write us, we will send you a little care package, we'll send you some patterns and some floss and some instruction sheets.

      We'll do it for free, all you have to do is give us your address. Your end of the deal is you have to tell us who you're going to teach and you have to send us photos and you have to tell us about the jokes you told and you have to tell us about the snacks you ate.” We have sent out, since we announced almost 200 packets and people are already getting together with their friends and sending us photos and it's wonderful, I love it. It's so enjoyable for me and that's a big [inaudible 00:40:29] aspect of my business is that I really love the feedback that I get from the people that are working with their hands, that are working with patterns, getting together with their friends, learning a new skill, it's great, it's really, really fun.

      Felix: Then from the business angle, what a great way to encourage referrals and word of mouth because now you are getting these people to not only enjoy your products, enjoy the process, enjoy the art with their friends but now they're spending many hours learning about this product that you essentially sell. I think that's a great way to not only spread that passion, spread what you're passionate about but then also attract essentially new customers to learn more about your products and your brand.

      Jenny: Well I hope so and I want … My dream when I started Sublime Stitching was that I could create a company and a brand that would endure, that people would think of affectionately, that they would associate it with something that they have good feelings about, that they have shared with friends, that they've made gifts, that they've given for people or that they had a comforting activity when things were stressful or that they had something now in their home or their clothing that they embroidered and personalized. They felt like they did it and that we helped them make that happen. That's really important to me and it's effective, sincerity is effective, it's because I'm really here, I'm really wanting this out there and I really love it when it comes back.

      Felix: Right, definitely. Now I want to talk a little bit about licensing because you're sitting in a very unique position that I don't think I've had many other guests on the podcast be in which is that you have worked on both sides of the table, buying licenses and also distributing or selling licenses. Can you say a little bit more about this, what kind of licenses have you worked with?

      Jenny: Well I've licensed my work as an artist and I also licensed work from artists for Sublime Stitching. What that means is that I am an artist who works with other artists and I try to work in terms that, one that makes sense for my business but I also like to treat them the way that I want to be treated when I'm on that side. I know what the concerns are, whenever you put your artwork in somebody else's hands and they're like, “Great, I'm going to make this product with it.” You're like, “I hope it looks okay, I hope he won't embarrass me.” I have a lot of those things in place when I work with artists of I want them to know that I'm working with them because I'm excited to, I'm working with them because I want to promote their work, I'm not going to be … I don't release patterns and some nameless thing, it's branded under their name, it's the artist series, all the patterns are named by the artist who did them.

      I show them what we're going to do before it goes to production which most companies won't do that which I actually understand why because you don't want the artist at that point to go, “This isn't what I want to … Go back into the kitchen.” It's a learning experience, I work with artists that are very established, that have a lot of experience with licensing, I also work with discovery artists who maybe have never licensed something before. We walk through it together and see what makes sense. It's a process that I always enjoy because I'm so excited to work with these artists because I'm a fan. I'm a fan of their work, I want to do this new thing where it's like, “Hey, let's make embroidery patterns out of your illustrations.”

      I hope that it's exciting for them to see their work get translated into hand embroidery and also for stitchers who are fans of their work or maybe new to their work, have this brand new platform to work with and embroider. That's been kind of a renewed focus because from the beginning I drew all the patterns myself and it wasn't until 2006 that we had our first artist which is Kurt Halsey and then we went on and we art by … We have Daniel Johnston, Carson Ellis who just won the [inaudible 00:44:56] Award for her children's book. Tara McPherson, artist [inaudible 00:45:02], Emily Winfield Martin, [Kyla Martz 00:45:06]. We're right now working with French artist Natalie Lete which I'm very excited about.

      That's really been kind of an even heavier focus now on doing other artists' work for the patterns because I can produce much more that way. It never was my intention for Sublime Stitching to just be my work but it was out of necessity for a long time. I still design all the product, develop all of it, do all the packaging. We work with one person to do assembly offsite. It's a lot of different things, I'm rambling, I've forgotten your original question.

      Felix: I think … Another question I want to ask is about the benefits of going the licensing route, why choose to license versus … Is the alternative just to create the art yourself or what's the alternative to licensing?

      Jenny: I guess what would be the alternative to licensing. Me producing the patterns was from day one, that was how we started. The reason why I license though … I think the simple answer for most companies, they license because they need quick content, they need … The creative content is the hardest, they're manufacturers, they have the factory, they have the sales and distribution but they don't have the creative content. You either have … For a company like mine, you have in house designers or in house artists. I'm not that size and really I want it to be more visible who's doing the work than that. For me licensing is a way to use existing work because I will use work that's existing from artists or sometimes we will commission them to do something exclusive.

      Then we just have something a little more unique. Licensing is a big world because also we're not talking about the scenario where let's say I'm licensing a syndicated cartoon like Peanuts for example. That's a whole other scenario. I think … I don't know, I don't really know … I don't have a very articulate answer for this so you'll probably cut this section.

      Felix: I won't because I think the answer you gave makes sense which is that if you need to get to the market faster or you don't have the means or time to create that creative content like you were saying, licensing I think is a very valid route for people to take. Now, when you do make that decision to go down that route of licensing, how do you find one that fits with your business, your purposes, your [inaudible 00:47:51]. What's your process for identifying an artist to license from?

      Jenny: Well for me, one, I have to like their work and be excited about it. I have to see a path for it to be translated into hand embroidery. Usually that means it works really well with a lot of comic artists who do really great line work, they have to want to do it. For people who are seeking licensing or seeking collaborations with other artists at whatever level, one of the things that I have learned that is absolutely crucial is they have to want to do it. I have wonderful artists that we worked with and I have people that I've approached, that I've asked and they're just for whatever reason and that's fine, they're just not interested or they just won't communicate.

      Je les poursuivrais vraiment parce que je serais tellement fou de leur travail et je penserais que ce serait tellement merveilleux. J'ai appris à mes dépens que s'ils ne sont pas enthousiastes à l'idée de le faire, il suffit de passer à autre chose. Pour les personnes qui cherchent à collaborer ou à obtenir une licence pour un travail créatif, l'une des choses que j'ai faites récemment a été d'aller à une convention, une convention d'illustrateurs et de marcher sur le sol. Ensuite, après avoir pris connaissance du terrain et vu tout le monde et avoir choisi les personnes que je voulais approcher, je suis allé les voir un par un et je leur ai donné ma carte et j'ai dit: "Hé, je ne savoir si vous êtes familier avec Sublime Stitching mais je m'appelle Jenny Hart et je fais des motifs de broderie, j'adore votre travail. J'aimerais… Si vous souhaitez transformer votre travail en motifs de broderie ou collaborer avec nous, contactez-moi.

      Je leur ai donné ma carte et je l'ai fait très court du genre : « Salut, comment vas-tu ? Si c'est quelque chose qui vous intéresse, contactez-moi. C'était la clé, c'était que je leur demande de me contacter. Certains d'entre eux, peu importe, ce n'est pas grave, certaines personnes diraient: "Je suis tellement excité, je meurs d'envie de faire ça." Je n'ai entendu que sur six personnes que j'ai approchées, c'était le dernier jour donc j'allais vite sinon j'aurais approché plus. L'une d'entre elles m'a contacté et c'est avec elle que nous travaillons. Cela devient également un conseil pour les artistes, c'est qu'il y a des entreprises qui veulent travailler avec vous et qui veulent autoriser votre travail. Vous devez juste vous faire, vous devez vous mettre en valeur ou vous rendre aussi facile à travailler que possible. Je prends des décisions tout le temps où je vais, "Ce n'est pas un vote de défiance, j'adore votre travail mais si vous ne répondez pas à mes e-mails, je dois passer à autre chose."

      C'est difficile parce que vous apprenez juste où votre temps est mieux dépensé et passez à la chose suivante.

      Félix : Lorsque vous mettez en place ces accords de licence, qu'est-ce qui se passe là-dedans, quels sont les termes clés ou les stipulations clés dont vous avez besoin pour vous assurer d'avoir raison ou de prêter beaucoup d'attention lors de la mise en place d'un accord de licence des deux côtés ?

      Jenny : J'ai un modèle que j'envoie à mes artistes après qu'ils aient dit qu'ils étaient intéressés et qui dit en langage simple : « D'accord, j'ai un contrat mais ce sont les points principaux. L'un des points que nous demandons à nos artistes est que nous demandons que leur travail nous soit exclusif uniquement pour les motifs de broderie. En d'autres termes, ils peuvent nous fournir des œuvres d'art préexistantes, ils en détiennent toujours les droits, ils peuvent continuer à développer d'autres projets avec mais nous ne demandons que l'exclusivité en tant que motifs de broderie. Nous demandons également très souvent l'exclusivité pour tous les motifs de broderie dont nous sommes le seul éditeur de motifs de broderie.

      C'est un exemple de quelque chose que nous demandons mais nous avons une norme... Nous décrivons nos termes et conditions, je veux dire la durée de l'accord, c'est... J'ai bricolé mon contrat au fil des ans pour changer certaines choses, nous décrivons ce que l'œuvre d'art sera celle que nous allons utiliser, quels sont les livrables, quand ils doivent nous la livrer. Nous avons commencé à faire des collections où nous ne faisons pas seulement une feuille de patrons mais nous faisons une mallette à outils, une feuille de patrons, un flair de cerceau, un flair de cerceau est un petit rappel d'aiguille magnétique. Nous avons une petite collection de leur travail, puis nous avons une métrique que nous utilisons qui est un calcul basé sur… Cela prend en considération nos coûts de fabrication, ce que nous allons net après la vente au détail, ce que nous allons net après vente en gros et ce que nous rapporterons après le distributeur.

      Cela m'a aidé en tant qu'artiste licencié, chaque fois que quelqu'un dit: "Je veux autoriser votre œuvre d'art." Vous êtes comme, "Bien sûr que tu le fais parce que je vaux un million de dollars." Vous obtenez ces petits chèques de redevances minuscules, mais étant de l'autre côté, quand je comprends combien d'argent va dans la fabrication que nous devons investir au départ et que nous avons des marges qui deviennent de plus en plus maigres lorsque nous travaillons avec des distributeurs qui peut-être voulez-vous 60% de réduction sur la vente au détail. Vraiment, c'est là que nous devons examiner ce nombre net. L'autre chose que j'aime faire et qui est importante pour moi, c'est que j'aime payer à mes artistes un montant forfaitaire à l'avance. Nous ne payons pas de royalties basées sur les ventes, nous payons des royalties basées sur la quantité totale que nous fabriquons. Ensuite, c'est à moi de le vendre.

      J'aime ça parce que j'aime que l'artiste ait l'impression d'avoir été payé et qu'il ne reçoive pas un chèque tous les trimestres de 12 $ et nous n'avons tout simplement pas la main-d'œuvre pour suivre cela de toute façon, ce qui était moi. Beaucoup d'artistes ont été vraiment, vraiment merveilleux et nous travaillons dessus. Je n'essaie jamais d'inciter qui que ce soit à faire quoi que ce soit. Je veux qu'ils soient excités à ce sujet, je veux qu'ils pensent que c'est quelque chose de spécial, qu'ils sachent que nous le faisons ensemble, que c'est parce que j'aime vraiment leur travail que je vais les payer aussi équitablement et raisonnablement que Je peux et qu'ils ont un accord qu'ils sentent qu'ils comprennent et que rien n'est hiéroglyphique. Je sais que lorsque moi et notre concessionnaire signons un contrat, je veux juste comprendre ce sur quoi je suis d'accord et je veux comprendre ce qu'ils veulent, je veux livrer ce qu'ils veulent.

      J'essaie de faire ça quand je travaille avec eux, j'ai l'impression de savoir… je sais ce qu'ils pensent.

      Félix : Oui, je pense que c'est vraiment précieux que vous ayez de l'expérience des deux côtés. Maintenant, pour les artistes là-bas, les auditeurs là-bas qui sont des artistes qui n'ont pas encore d'entreprise et ne savent même pas exactement ce qu'ils veulent faire mais ils veulent transformer leur passion en entreprise, qu'en pensez-vous devrait être leur premier pas, sur quoi devraient-ils se concentrer disons le mois prochain pour faire ce premier pas dans cette marche comme vous le disiez vers leur objectif ?

      Jenny : Eh bien, vous devez avoir une idée claire de ce que sera votre entreprise. Il doit être si clair pour vous que vous pouvez le définir et vous pouvez identifier qui d'autre peut le faire ou ce qui s'en rapproche le plus. C'est ainsi que vous allez comprendre comment vous pouvez façonner le vôtre pour qu'il soit unique, s'il y a un besoin ou s'il n'y en a pas besoin. S'il y a de la concurrence avec laquelle vous pouvez vivre ou non et si c'est réaliste de le faire. Je pense… C'est peut-être une sorte d'analogie ancienne, mais il y a très, très longtemps, je n'arrive pas à croire que je viens de dire qu'il y a très, très longtemps, quand nous parlions tout le temps à Renegade Craft Fairs de « Je veux ouvrir une boutique Etsy et je veux quitter mon travail de jour. J'avais l'habitude de dire quand je donnais des conférences, je disais : « Eh bien, vous aimez peut-être faire des boucles d'oreilles, aimez-vous faire 200 boucles d'oreilles ?

      « Votre entreprise est-elle évolutive ? » C'est un grand, "Comment le voyez-vous grandir, avez-vous un plan pour le faire grandir, aimez-vous faire des plans ? Vous devez. Êtes-vous à l'aise avec le risque ? » Je pense que c'est un gros problème auquel les gens ne pensent pas, c'est à quel point… Vous devez être d'accord avec le fait que cela ne fonctionne pas, vous devez être d'accord avec beaucoup de choses qui ne fonctionnent pas encore et encore et encore . Si vous pouvez supporter cela et si vous ne pouvez pas le prendre comme "Eh bien, cela n'a pas fonctionné, il est temps d'abandonner", ou si vous pouvez le dépasser et passer à autre chose ou si vous pouvez apprendre de ce. Sublime Stitching existe depuis si longtemps parce que premièrement, j'adore le faire, mais j'ai toujours été prêt à dépasser les choses qui ne fonctionnaient pas. Cela peut être difficile à faire pour les gens, surtout si vous avez passé beaucoup de temps à développer quelque chose, à y travailler.

      Juste parce que vous avez passé un an à développer quelque chose, si vous avez atteint un point où vous avez déterminé que cela ne fonctionnera pas, que cela n'en vaudra pas la peine ou pour une raison quelconque, ce n'est plus une bonne idée, cela ne cela ne veut pas dire que vous devez aller de l'avant. Je pense qu'une erreur que certaines entreprises commettent est qu'elles vont faire ça, elles vont dire : "Hé, nous devons faire ça parce que nous avons passé un an à travailler dessus." C'est un risque et vous devrez peut-être simplement le prendre comme une perte et passer à la prochaine chose qui sera meilleure. Les gens qui travaillent à vos côtés, cela peut être très frustrant, ils ne peuvent pas comprendre cela. J'ai eu des gens qui ont travaillé pour moi où, à un moment donné, j'avais, je pense, trois personnes dans le personnel, ce qui est le plus grand que j'aie jamais eu. Je sais qu'ils ressentiraient cette frustration, c'est frustrant pour moi quand je suis à ce point quand c'est la décision de quelqu'un d'autre et que vous vous dites : « Je travaille là-dessus depuis six mois.

      C'est comme: "Ouais, nous le supprimons." Je pense que c'est une chose très puissante avec laquelle être à l'aise au sein de votre entreprise.

      Felix : Ouais, c'est un conseil incroyable, merci beaucoup pour votre temps Jenny donc sublimestitching.com est le site web. Où voulez-vous voir l'entreprise être, où voulez-vous voir votre marque à cette époque l'année prochaine ?

      Jenny : Oh mon Dieu, j'aimerais vraiment avoir... J'ai toujours été intéressée par un partenariat avec... C'est le rêve de l'entrepreneur, c'est que vous voulez vous associer à une entreprise qui a plus de ressources que vous, qui reconnaît ce que c'est que vous 'essayez de faire et vous aide à l'amplifier. C'est la tarte dans le ciel idéale donc ce serait bien. Nous avons des entreprises qui nous intéressent et qui s'intéressent à nous et dont nous parlons mais qui ne ressemblent jamais à ce que vous pensez qu'elles vont ressembler et je finis toujours par revenir en disant : « Je suis travailleur indépendant depuis un raison, je veux être mon propre patron et je veux..." C'est dur parce que je pense que le rêve depuis le début, vous apprenez tellement que vous vous dites, "Le rêve n'est pas ce que vous pensiez qu'il était."

      Non pas que ce soit mauvais, c'est juste différent. En fait, j'ai encore autant de mal à répondre à cette question aujourd'hui qu'il y a 15 ou 16 ans. La vérité est que je veux juste broder toute la journée, c'est… Quelque chose dans un an qui me donnerait plus de temps pour me concentrer sur mon travail personnel… Mon travail en studio et ma broderie seraient merveilleux.

      Félix : Génial, j'adore. Merci beaucoup pour votre temps encore Jenny.

      Jenny : Appréciez-le, j'espère que cela a été utile à vos auditeurs.

      Felix : Voici un aperçu de ce qui vous attend pour le prochain épisode de Shopify Masters.

      Intervenant 3 : Nous avons également ciblé la concurrence, nous avons ciblé certains magasins de détail comme Buy Buy Baby, nous avons ciblé certaines personnes…

      Intervenant 4 : Sièges auto.

      Intervenant 3 : À la recherche de sièges d'auto. Il y a eu beaucoup de clichés dans le noir, beaucoup n'ont pas donné le résultat escompté mais heureusement, quelques-uns en ont rapporté… Des leads et des ventes importants.

      Felix : Merci d'avoir écouté Shopify Masters, le podcast de marketing e-commerce pour les entrepreneurs ambitieux. Pour démarrer votre boutique aujourd'hui, visitez shopify.com/masters pour réclamer votre essai gratuit prolongé de 30 jours.


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